POLITIQUE
« Le premier lieu indiqué pour vivre les sacrements est sa famille. C’est ainsi que nous avons choisi, pour cette année à venir, de parler de la famille. Le seigneur Jésus, le fondement et le fondateur des sacrements a d’abord vécu dans une famille. », a-t-il indiqué.
Cependant, a-t-il noté que, « la famille ne se limite pas seulement aux parents et leurs progénitures. Elle englobe des oncles, des tantes, des cousins germains. Elle va plus loin, car elle désigne autant la communauté villageoise ou l’ensemble de ceux qui sont nés sur le territoire, appelé pays natal ».
« Nous assistons presque impuissants aux multiples divorces de nos jours, la dépravation des mœurs. L’union libre entre l’homme et la femme semble chose normale. Peut être, il serait judicieux de réviser la question de la dot. Elle devient un obstacle pour les jeunes qui ne disposent pas de revenus suffisants. Si nous aimons notre société, nous devrions lutter pour aider des couples à légitimer leur union devant les hommes et devant le seigneur », a fait constater le révérend Père, Dieudonné Nzapalainga.
Il a réitéré que la rentrée pastorale est un temps de grâce auquel le Seigneur nous convoque, nous tous les fils et filles, assoiffés de son amour, entre autres pour méditer, prier, apprendre ensemble et chercher un point de vue commun, parler un même langage et ensemble partager des expériences de vie pour une marche ecclésiale, car, il est beau de rester en frères.
Selon lui, non seulement nos différentes confessions religieuses forment une famille, mais notre Eglise-Famille de Dieu qui est à Bangui regorge des associations de fidèles laïcs qui se distinguent par l’uniforme de leur Saint Patron, par mode de s’accueillir, se saluer et de prier.
Il a cité en exemple que plusieurs point de l’évangile qui décrit des activités humaines de Jésus ; sa mère, ses frères, ses voyages, des gens qu’il a rencontré, des amis chez qui il allait manger où se reposer pour surtout refaire ses forces. Ses parents qui lui cherchent car son absence est trop prolongée.
Les délégués venus des différentes diocèses de Bangui et de la préfecture de l’Ombella- MPoko suivront des communications sur certains thèmes entre autres les fondements culturels de la famille en RCA ; pour une dot responsable ; les défis de la famille face à la nouvelle éthique mondiale enfin paternité et maternité responsable.
Il convient de noter que ces assises prendront fin le samedi 24 septembre prochain.
Cependant, a-t-il noté que, « la famille ne se limite pas seulement aux parents et leurs progénitures. Elle englobe des oncles, des tantes, des cousins germains. Elle va plus loin, car elle désigne autant la communauté villageoise ou l’ensemble de ceux qui sont nés sur le territoire, appelé pays natal ».
« Nous assistons presque impuissants aux multiples divorces de nos jours, la dépravation des mœurs. L’union libre entre l’homme et la femme semble chose normale. Peut être, il serait judicieux de réviser la question de la dot. Elle devient un obstacle pour les jeunes qui ne disposent pas de revenus suffisants. Si nous aimons notre société, nous devrions lutter pour aider des couples à légitimer leur union devant les hommes et devant le seigneur », a fait constater le révérend Père, Dieudonné Nzapalainga.
Il a réitéré que la rentrée pastorale est un temps de grâce auquel le Seigneur nous convoque, nous tous les fils et filles, assoiffés de son amour, entre autres pour méditer, prier, apprendre ensemble et chercher un point de vue commun, parler un même langage et ensemble partager des expériences de vie pour une marche ecclésiale, car, il est beau de rester en frères.
Selon lui, non seulement nos différentes confessions religieuses forment une famille, mais notre Eglise-Famille de Dieu qui est à Bangui regorge des associations de fidèles laïcs qui se distinguent par l’uniforme de leur Saint Patron, par mode de s’accueillir, se saluer et de prier.
Il a cité en exemple que plusieurs point de l’évangile qui décrit des activités humaines de Jésus ; sa mère, ses frères, ses voyages, des gens qu’il a rencontré, des amis chez qui il allait manger où se reposer pour surtout refaire ses forces. Ses parents qui lui cherchent car son absence est trop prolongée.
Les délégués venus des différentes diocèses de Bangui et de la préfecture de l’Ombella- MPoko suivront des communications sur certains thèmes entre autres les fondements culturels de la famille en RCA ; pour une dot responsable ; les défis de la famille face à la nouvelle éthique mondiale enfin paternité et maternité responsable.
Il convient de noter que ces assises prendront fin le samedi 24 septembre prochain.
