POLITIQUE
Vladimir Monteiro (au milieu) pendant la conférence de presse
Le Porte-parole de la MINUSCA a expliqué qu’il ne comprend pas pourquoi un nouveau groupe armé voit le jour en Centrafrique, au moment même où le gouvernement vient de lancer le projet pilote de désarmement (DDRR).
Il a expliqué que la MINUSCA est très préoccupée par cette situation car le lancement du projet pilote avait pour but d’inciter les combattants encore réticents à adhérer au processus du désarmement, démobilisation, réintégration et rapatriement proprement dit.
« La MINUSCA rappelle que les groupes armés ont un choix à faire : soit ils adhèrent au processus du DDRR, soit ils poursuivent les hostilités et ils en tirent toutes les conséquences » a-t-il prévenu.
Il a souligné que la MINUSCA a dépêché une mission à Ndim pour s’enquérir de la situation de la présidente de la délégation spéciale de la ville et d’un prêtre capucin, tous deux séquestrés par des hommes armés.
Il a aussi fait mention de la situation survenue en début de semaine à Bria où la MINUSCA a empêché certains éléments du Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC) d’Abdoulaye Hissène de rentrer dans cette ville, déjà en proie à de graves problèmes d’insécurité.
Il convient de rappeler que les porte-parole de la MINUSCA ont passé en revue les cas des violation et abus des droits de l’homme tant à Bangui que dans l’arrière-pays.
Il a expliqué que la MINUSCA est très préoccupée par cette situation car le lancement du projet pilote avait pour but d’inciter les combattants encore réticents à adhérer au processus du désarmement, démobilisation, réintégration et rapatriement proprement dit.
« La MINUSCA rappelle que les groupes armés ont un choix à faire : soit ils adhèrent au processus du DDRR, soit ils poursuivent les hostilités et ils en tirent toutes les conséquences » a-t-il prévenu.
Il a souligné que la MINUSCA a dépêché une mission à Ndim pour s’enquérir de la situation de la présidente de la délégation spéciale de la ville et d’un prêtre capucin, tous deux séquestrés par des hommes armés.
Il a aussi fait mention de la situation survenue en début de semaine à Bria où la MINUSCA a empêché certains éléments du Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC) d’Abdoulaye Hissène de rentrer dans cette ville, déjà en proie à de graves problèmes d’insécurité.
Il convient de rappeler que les porte-parole de la MINUSCA ont passé en revue les cas des violation et abus des droits de l’homme tant à Bangui que dans l’arrière-pays.
