POLITIQUE
M. Jean Pierre Vidon et M. Kian Abbassian paraphant les documents (ph. Koutou/Acap)
« La situation humanitaire en Centrafrique est encore marquée par le sceau de l’urgence, nous avons besoin à ce titre de toutes les énergies disponibles, la participation de la France au programme Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (DDR) et son implication dans la réforme de secteur de sécurité (RSS) s’inscrivent dans le même cadre global cohérent », évoqué l’Ambassadeur Jean Pierre Vidon.
« Cette convention traduit la mise en œuvre d’un programme spécifique ambitieux répondant aux plus près aux besoins des populations », a-t-il souligné.
Enfin, il a précisé que « cette aide alimentaire permettra à 2.380 familles des sous-préfectures de Bocaranga et Ngaoundaye de disposer de 117 tonnes de nourritures, et contribuera ainsi à faire face à l’urgence de la situation durant la période de préparation des parcelles pour la nouvelle saison culturale ».
Le chef de mission « Première Urgence » a pour sa part indiqué que « la présente subvention vient donner toute sa complémentarité pertinence à notre action, c’est la 5ème fois que la République Française met directement des fonds à la disposition de Première Urgence pour assister les populations vulnérables, victimes des conflits en République Centrafricaine ».
Créée en 1992, les équipes de Première Urgence sont intervenues dans plus de 30 pays lors des grandes crises humanitaires, en zone de conflits ou suite à des catastrophes naturelles. La mission de Première Urgence en Centrafrique est ouverte en 2007 en zone de conflit armé, dans l’Ouham Pendé était la 20ème mission de l’organisation.
« Cette convention traduit la mise en œuvre d’un programme spécifique ambitieux répondant aux plus près aux besoins des populations », a-t-il souligné.
Enfin, il a précisé que « cette aide alimentaire permettra à 2.380 familles des sous-préfectures de Bocaranga et Ngaoundaye de disposer de 117 tonnes de nourritures, et contribuera ainsi à faire face à l’urgence de la situation durant la période de préparation des parcelles pour la nouvelle saison culturale ».
Le chef de mission « Première Urgence » a pour sa part indiqué que « la présente subvention vient donner toute sa complémentarité pertinence à notre action, c’est la 5ème fois que la République Française met directement des fonds à la disposition de Première Urgence pour assister les populations vulnérables, victimes des conflits en République Centrafricaine ».
Créée en 1992, les équipes de Première Urgence sont intervenues dans plus de 30 pays lors des grandes crises humanitaires, en zone de conflits ou suite à des catastrophes naturelles. La mission de Première Urgence en Centrafrique est ouverte en 2007 en zone de conflit armé, dans l’Ouham Pendé était la 20ème mission de l’organisation.
