« Cette réunion vise non seulement à présenter les résultats acquis et expériences de la mise en œuvre dudit projet, mais également à mobiliser les parties prenantes sur les questions liées à la gestion des ressources halieutiques en tant que partie intégrante de la biodiversité naturelle et régionale », a indiqué le directeur exécutif, M. Judicaël Abraham Imolomako Acobongo.
Selon lui, la vision du projet est d’assurer un développement communautaire durable avec la participation des collectivités territoriales.
Cette vision, a ajouté Imolomako Acobongo, passe par une contribution à la gestion durable et la conservation des ressources naturelles par les communautés à travers la promotion de la gestion participative des ressources naturelles, la protection des sites à haute valeur pour la conservation et la promotion du développement communautaire au niveau local.
«La pression multiforme sur les éléments des écosystèmes terrestres et aquatiques se manifestent par l’utilisation des techniques de pêche inappropriées et destructrices des ressources halieutiques, des moustiquaires, des pesticides agricoles et le déversement des polluants organiques persistants et des produits chimiques, l’ignorance de l’existence des sites de reproduction des poissons le long de la rivière Sangha par les usagers entraînent la régression des poissons et le changement climatique », a-t-il déploré.
C’est dans la perspective de recherche de solution à l’érosion de la biodiversité aquatique et de la promotion d’une gestion inclusive des ressources naturelles de la Sangha que l’organisation communautaire de gestion des ressources naturelles dénommée « Action pour la Gestion Intégrée des ressources naturelles en Centrafrique » avait élaboré ce projet afin de contribuer à la conservation des ressources aquatiques.
Il faut noter qu’Agir-Centrafrique est une organisation communautaire pour le développement à la base créée en avril 2004 à Mbaïki (110 km au sud-ouest de Bangui, dans la préfecture de la Lobaye.
Selon lui, la vision du projet est d’assurer un développement communautaire durable avec la participation des collectivités territoriales.
Cette vision, a ajouté Imolomako Acobongo, passe par une contribution à la gestion durable et la conservation des ressources naturelles par les communautés à travers la promotion de la gestion participative des ressources naturelles, la protection des sites à haute valeur pour la conservation et la promotion du développement communautaire au niveau local.
«La pression multiforme sur les éléments des écosystèmes terrestres et aquatiques se manifestent par l’utilisation des techniques de pêche inappropriées et destructrices des ressources halieutiques, des moustiquaires, des pesticides agricoles et le déversement des polluants organiques persistants et des produits chimiques, l’ignorance de l’existence des sites de reproduction des poissons le long de la rivière Sangha par les usagers entraînent la régression des poissons et le changement climatique », a-t-il déploré.
C’est dans la perspective de recherche de solution à l’érosion de la biodiversité aquatique et de la promotion d’une gestion inclusive des ressources naturelles de la Sangha que l’organisation communautaire de gestion des ressources naturelles dénommée « Action pour la Gestion Intégrée des ressources naturelles en Centrafrique » avait élaboré ce projet afin de contribuer à la conservation des ressources aquatiques.
Il faut noter qu’Agir-Centrafrique est une organisation communautaire pour le développement à la base créée en avril 2004 à Mbaïki (110 km au sud-ouest de Bangui, dans la préfecture de la Lobaye.