POLITIQUE
Au terme de ces travaux, les participants ont recommandé entre autres, le renforcement des capacités des hommes des médias des secteurs public, privé et militaire pour mener à bien leur mission dans le cadre du projet de contrôle et de réduction des armes légères et petit calibre, la dotation de tous ces médias en équipements performants pour une meilleure couverture médiatique des activités dudit projet, la prévention d’un mécanisme d’intervention aux conflits éventuels pour la période de l’exécution du projet et l’adoption de la loi portant régime des armes légères et munitions en République Centrafricaine.
M. Ndougou a souligné le souci constant d’analyser soigneusement les données relatives à l’amélioration des plans d’opération du projet de réduction et de contrôle des armes légères et de petit calibre, dont la mise en œuvre va dans le sens du progrès des renforcements des capacités des services de sécurité qui est une condition primordiale pour l’amorce d’un développement harmonieux de la Centrafrique.
« Le gouvernement lance un appel pressant au patriotisme de tout un chacun pour faciliter la tâche de ceux qui ont la charge de ce projet, et il y va de l’intérêt de chaque Centrafricain d’assurer la sécurité du pays, » a-t-il conclu.
Interrogé par l’ACAP, l’expert national en désarmement, démobilisation et réinsertion, M. Ndjaye Sakanoko, a avancé qu’au cours de cet atelier, il était question de présenter la CNPDR et de présenter le projet en tant que tel et enfin de présenter les plans d’opération de ce projet afin que les participants puissent les consolider.
Tout en annonçant le lancement officiel de ce projet le samedi 9 août 2008 sur prochain par les activités sous forme des flammes de la paix en diffusion et une semaine après pour la mise en œuvre opérationnelle du projet de réduction et de contrôle des armes légères et petit calibre à Bangui et sur les sites des zones du projet de réinsertion d’appui communautaire des ex combattants (PRAC).
Il a expliqué que « l’approche arme en échange de développement », veut dire tout simplement que les personnes qui rendront leurs armes et munitions vont bénéficier de ce qu’on appelle des projets, toutes ces personnes vont s’associer pour réaliser ce qu’on appelle des micros projets communautaires tant à Bangui que sur les zones pilotes du projet.
Il faut rappeler que cet atelier organisé par la CNPDR avec le concours technique et financier du PNUD et du Gouvernement japonais, avait pour objectifs de revoir la pertinence et la cohérence des activités prévues dans le cadre du projet de réduction et du contrôle des armes légères au regard des récentes évolutions et des produits escomptés.
De manière spécifique, l’atelier permet également d’établir la chaîne logique et la cohérence entre les résultats à atteindre, les stratégies générales et opérationnelles des activités, les produits à obtenir et les moyens à mettre en œuvre dans la perspective d’une meilleure efficience des ressources, il vise également à renforcer le plaidoyer autour du projet ainsi que pour l’adoption de la loi portant régime des armes légères et munitions en République Centrafricaine.
M. Ndougou a souligné le souci constant d’analyser soigneusement les données relatives à l’amélioration des plans d’opération du projet de réduction et de contrôle des armes légères et de petit calibre, dont la mise en œuvre va dans le sens du progrès des renforcements des capacités des services de sécurité qui est une condition primordiale pour l’amorce d’un développement harmonieux de la Centrafrique.
« Le gouvernement lance un appel pressant au patriotisme de tout un chacun pour faciliter la tâche de ceux qui ont la charge de ce projet, et il y va de l’intérêt de chaque Centrafricain d’assurer la sécurité du pays, » a-t-il conclu.
Interrogé par l’ACAP, l’expert national en désarmement, démobilisation et réinsertion, M. Ndjaye Sakanoko, a avancé qu’au cours de cet atelier, il était question de présenter la CNPDR et de présenter le projet en tant que tel et enfin de présenter les plans d’opération de ce projet afin que les participants puissent les consolider.
Tout en annonçant le lancement officiel de ce projet le samedi 9 août 2008 sur prochain par les activités sous forme des flammes de la paix en diffusion et une semaine après pour la mise en œuvre opérationnelle du projet de réduction et de contrôle des armes légères et petit calibre à Bangui et sur les sites des zones du projet de réinsertion d’appui communautaire des ex combattants (PRAC).
Il a expliqué que « l’approche arme en échange de développement », veut dire tout simplement que les personnes qui rendront leurs armes et munitions vont bénéficier de ce qu’on appelle des projets, toutes ces personnes vont s’associer pour réaliser ce qu’on appelle des micros projets communautaires tant à Bangui que sur les zones pilotes du projet.
Il faut rappeler que cet atelier organisé par la CNPDR avec le concours technique et financier du PNUD et du Gouvernement japonais, avait pour objectifs de revoir la pertinence et la cohérence des activités prévues dans le cadre du projet de réduction et du contrôle des armes légères au regard des récentes évolutions et des produits escomptés.
De manière spécifique, l’atelier permet également d’établir la chaîne logique et la cohérence entre les résultats à atteindre, les stratégies générales et opérationnelles des activités, les produits à obtenir et les moyens à mettre en œuvre dans la perspective d’une meilleure efficience des ressources, il vise également à renforcer le plaidoyer autour du projet ainsi que pour l’adoption de la loi portant régime des armes légères et munitions en République Centrafricaine.
