POLITIQUE
Centrafrique/société :
C’est le Colonel Sambia, directeur général adjoint de la gendarmerie nationale qui a présidé cette cérémonie, en présence de MM. Muller et Kifane Abdoul respectivement représentant de la coopération française et du Bureau des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca).
M. Sambia a exalté les bonnes relations agissantes entre l’Etat major général de la gendarmerie centrafricaine et les partenaires au développement (France et Bonuca), avant de réaffirmer la volonté du Général d’Armée François Bozizé, chef suprême des forces armées centrafricaines (Faca), de voir une gendarmerie jeune et efficace au service du peuple.
Ce stage de quatorze jours fait suite à une série de formations organisées par le haut commandement de la gendarmerie nationale, en collaboration avec les partenaires au développement (France, Bonuca), a permis aux participants de passer au peigne fin les différents modules parmi lesquels le Droit humanitaire, les messages chiffrés et l’exécution des missions, etc.
« La gendarmerie qui est un corps paramilitaire, a un rôle pluridimensionnel. Ses actions sont guidées par une méthode de travail et une déontologie qui la différencient des autres corps », a déclaré le Lieutenant Wayolo, directeur de stage, au centre d’instruction de Kolongo, qui s’est attardé par la même occasion sur le rôle et les caractéristiques d’un gendarme dans l’exercice de ses fonctions et surtout dans l’accomplissement de sa mission dans une localité donnée.
Monsieur Kitané Abdoul, représentant du Bonuca a profité de cette opportunité pour définir l’expression commandement et mettre un accent particulier sur la discipline, la loyauté et la perfection qui doivent caractériser le gendarme dans l’accomplissement de sa mission quotidienne.
M. Muller, conseiller technique au centre d’instruction de Kolongo a souligné que le rôle d’arbitre du gendarme constitue une « cheville ouvrière » de cette institution, et une référence pour la population et les autorités qui l’observent.
C’est le Colonel Sambia, directeur général adjoint de la gendarmerie nationale qui a présidé cette cérémonie, en présence de MM. Muller et Kifane Abdoul respectivement représentant de la coopération française et du Bureau des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca).
M. Sambia a exalté les bonnes relations agissantes entre l’Etat major général de la gendarmerie centrafricaine et les partenaires au développement (France et Bonuca), avant de réaffirmer la volonté du Général d’Armée François Bozizé, chef suprême des forces armées centrafricaines (Faca), de voir une gendarmerie jeune et efficace au service du peuple.
Ce stage de quatorze jours fait suite à une série de formations organisées par le haut commandement de la gendarmerie nationale, en collaboration avec les partenaires au développement (France, Bonuca), a permis aux participants de passer au peigne fin les différents modules parmi lesquels le Droit humanitaire, les messages chiffrés et l’exécution des missions, etc.
« La gendarmerie qui est un corps paramilitaire, a un rôle pluridimensionnel. Ses actions sont guidées par une méthode de travail et une déontologie qui la différencient des autres corps », a déclaré le Lieutenant Wayolo, directeur de stage, au centre d’instruction de Kolongo, qui s’est attardé par la même occasion sur le rôle et les caractéristiques d’un gendarme dans l’exercice de ses fonctions et surtout dans l’accomplissement de sa mission dans une localité donnée.
Monsieur Kitané Abdoul, représentant du Bonuca a profité de cette opportunité pour définir l’expression commandement et mettre un accent particulier sur la discipline, la loyauté et la perfection qui doivent caractériser le gendarme dans l’accomplissement de sa mission quotidienne.
M. Muller, conseiller technique au centre d’instruction de Kolongo a souligné que le rôle d’arbitre du gendarme constitue une « cheville ouvrière » de cette institution, et une référence pour la population et les autorités qui l’observent.
