POLITIQUE
Dans son discours de clôture, M. Maxime Mbaga a affirmé que les pratiques traditionnelles néfastes et les violence basées sur le genre sont des pratiques qui sont de nature à freiner le développement social de la République Centrafricaine et a invité les participants à s’impliquer davantage dans la lutte contre ce phénomène.
« En tant que professionnels du droit, défenseurs des droits de l’Homme, j’ose désormais compter sur votre participation efficace et efficiente dans ce combat contre l’impunité, contre la honte, la déchéance de l’espèce humaine », a-t-il lancé à l’endroit des participants.
« Je puis vous assurer que le gouvernement poursuivra les activités de renforcement des capacités des différents acteurs impliqués dans la lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes et les violences basées sur le genre, et plus particulièrement en votre direction, vous qui êtes les régulateurs de la société », a-t-il ajouté.
Rappelons cet atelier de sensibilisation était organisé par le CIAF-Centrafrique à l’endroit de quarante magistrats, avocats, greffiers et officiers de police judiciaire, pour les amener à prendre conscience sur les effets néfastes des violences sexuelles perpétrées sur les femmes et les enfants afin de les amener à appliquer les textes y relatifs et de lutter contre l’impunité.
« En tant que professionnels du droit, défenseurs des droits de l’Homme, j’ose désormais compter sur votre participation efficace et efficiente dans ce combat contre l’impunité, contre la honte, la déchéance de l’espèce humaine », a-t-il lancé à l’endroit des participants.
« Je puis vous assurer que le gouvernement poursuivra les activités de renforcement des capacités des différents acteurs impliqués dans la lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes et les violences basées sur le genre, et plus particulièrement en votre direction, vous qui êtes les régulateurs de la société », a-t-il ajouté.
Rappelons cet atelier de sensibilisation était organisé par le CIAF-Centrafrique à l’endroit de quarante magistrats, avocats, greffiers et officiers de police judiciaire, pour les amener à prendre conscience sur les effets néfastes des violences sexuelles perpétrées sur les femmes et les enfants afin de les amener à appliquer les textes y relatifs et de lutter contre l’impunité.
