Au terme de cet atelier, les participants se sont engagés à restaurer la paix entre les peuples, à créer un espace et canal de communication, de compréhension mutuelle entre les peuples, d’assurer un développement harmonieux, équilibré et durable par le travail, l’unité, la dignité et la justice entre les fils et les filles de Centrafrique, à développer et cultiver en tout temps l’esprit de fraternité, d’égalité et de pardon mutuel entre les peuples et enfin à apprendre à résoudre de manière pacifique les conflits.
Dans son exposé sur le thème « la justice dans les églises, » le Père Nzié a fait remarquer que l’Eglise continue de jouer un rôle incontournable dans la construction d’une société plus juste.
Il a par ailleurs réitéré que « la justice aidera à faire de nos sociétés cette terre et lumière du monde », ajoutant que c’est à « nous qu’incombe la responsabilité de faire éclater les bourgeons de la justice, de réaliser la prophétie de la rencontre de l’amour et vérité. »
M. Faustin Noudjoutar, l’un des facilitateurs, a quant à lui entretenu les participants sur « le dialogue et la réconciliation nationale », qu’il qualifie de « conditionnalité, voire même une forme d’exigence de notre système d’enseignement».
Il a précisé que le dialogue et la réconciliation nationale en République Centrafricaine constituent de véritables vecteurs incontournables de la stabilité sociale pour un développement durable.
Il a enfin invité les participants à faire de la paix et de la justice un indicateur de sentiment, d’attitude et de comportement pour un meilleur avenir de la République centrafricaine.
Interrogé par l’ACAP, l’Imam Ousmane de la mosquée de combattant, l’un des participants, a indiqué que cet atelier vient à point nommé pour renforcer la capacité de la communauté musulmane afin qu’elle puisse changer de comportement dans la société.
Le père Félix Narbé a enfin remercié les participants au nom de l’Eglise et a félicité toutes les parties prenantes pour leur assiduité à ce séminaire, avant de souhaiter que le Bon Dieu puisse rassembler tous les Centrafricains en vue de consolider une paix durable.
Il faut rappeler que ce séminaire a regroupé une soixantaine de responsables de toutes les confessions religieuses oeuvrant dans le comité justice et paix.
Dans son exposé sur le thème « la justice dans les églises, » le Père Nzié a fait remarquer que l’Eglise continue de jouer un rôle incontournable dans la construction d’une société plus juste.
Il a par ailleurs réitéré que « la justice aidera à faire de nos sociétés cette terre et lumière du monde », ajoutant que c’est à « nous qu’incombe la responsabilité de faire éclater les bourgeons de la justice, de réaliser la prophétie de la rencontre de l’amour et vérité. »
M. Faustin Noudjoutar, l’un des facilitateurs, a quant à lui entretenu les participants sur « le dialogue et la réconciliation nationale », qu’il qualifie de « conditionnalité, voire même une forme d’exigence de notre système d’enseignement».
Il a précisé que le dialogue et la réconciliation nationale en République Centrafricaine constituent de véritables vecteurs incontournables de la stabilité sociale pour un développement durable.
Il a enfin invité les participants à faire de la paix et de la justice un indicateur de sentiment, d’attitude et de comportement pour un meilleur avenir de la République centrafricaine.
Interrogé par l’ACAP, l’Imam Ousmane de la mosquée de combattant, l’un des participants, a indiqué que cet atelier vient à point nommé pour renforcer la capacité de la communauté musulmane afin qu’elle puisse changer de comportement dans la société.
Le père Félix Narbé a enfin remercié les participants au nom de l’Eglise et a félicité toutes les parties prenantes pour leur assiduité à ce séminaire, avant de souhaiter que le Bon Dieu puisse rassembler tous les Centrafricains en vue de consolider une paix durable.
Il faut rappeler que ce séminaire a regroupé une soixantaine de responsables de toutes les confessions religieuses oeuvrant dans le comité justice et paix.