POLITIQUE
Faustin Touadéra (à droite) lors d'un arrêt sur l'avenue Boganda en compagnie du ministre de l'Equipement (photo Yaka Maïdé/Acap)
En compagnie de quelques membres de son cabinet et du ministre de l’Equipement et du Désenclavement, Cyriaque Samba-Panza, le chef du gouvernement a descendu les avenues Koudoukou et Boganda, depuis le 4ème arrondissement, à la périphérie nord, jusqu’au centre-ville de Bangui.
« Je ne suis pas très satisfait, c’est pour ça que je suis venu voir ça sur le terrain parce que j’ai vu que y a certains endroits, c’est pas ce que nous attendons de cela », a déclaré le chef du gouvernement à la fin de cette tournée d’inspection.
« Ce sont des investissements, ce qu’on veut c’est que ces travaux là se fassent bien, il y a beaucoup de trafic ici, il faudrait que ça dure, et pour la commodité de nos concitoyens, il faudrait que ces travaux se fassent très bien », a-t-il souligné, avant d’appeler le bureau d’études français Louis Berger et les services du ministère de l’Equipement à suivre de près la suite des travaux.
Le chef du gouvernement se fait ainsi l’écho des plaintes des banguissois, qui considèrent bâclés les travaux effectués par la société Satom, avec pour conséquences la fusion sous les pieds du bitume, le manque d’adhérence des gravillons utilisés pour bitumer la chaussée, la fissure des dalles de béton utilisées pour les caniveaux ou encore l’affaissement des parois de ces mêmes caniveaux sous la pression des eaux de pluies.
Interrogés par M. Touadéra, les responsables du chantier ont notamment justifié ces constats par un trafic plus important que prévu (25 000 voitures/jour contre 10 000 initialement prévues) et par l’impossibilité de construire des collecteurs plus larges pour l’évacuation des eaux de pluie vers le fleuve Oubangui, au sud de Bangui.
Ils se sont toutefois engagés à reprendre les travaux, en rajoutant une couche supplémentaire de bitume pour les chaussées et en reconstruisant les parois des caniveaux.
Financés par l’Union Européenne à hauteur de 6,3 millions d’euros (environ 4,1 milliards F CFA) à, ces travaux prévus pour 12 mois devaient permettre, grâce à la technique dite d’enduit superficiel, de réhabiliter 9 km de chaussée sur les avenues Koudoukou et Boganda, alors criblées de nids-de-poule.
« Je ne suis pas très satisfait, c’est pour ça que je suis venu voir ça sur le terrain parce que j’ai vu que y a certains endroits, c’est pas ce que nous attendons de cela », a déclaré le chef du gouvernement à la fin de cette tournée d’inspection.
« Ce sont des investissements, ce qu’on veut c’est que ces travaux là se fassent bien, il y a beaucoup de trafic ici, il faudrait que ça dure, et pour la commodité de nos concitoyens, il faudrait que ces travaux se fassent très bien », a-t-il souligné, avant d’appeler le bureau d’études français Louis Berger et les services du ministère de l’Equipement à suivre de près la suite des travaux.
Le chef du gouvernement se fait ainsi l’écho des plaintes des banguissois, qui considèrent bâclés les travaux effectués par la société Satom, avec pour conséquences la fusion sous les pieds du bitume, le manque d’adhérence des gravillons utilisés pour bitumer la chaussée, la fissure des dalles de béton utilisées pour les caniveaux ou encore l’affaissement des parois de ces mêmes caniveaux sous la pression des eaux de pluies.
Interrogés par M. Touadéra, les responsables du chantier ont notamment justifié ces constats par un trafic plus important que prévu (25 000 voitures/jour contre 10 000 initialement prévues) et par l’impossibilité de construire des collecteurs plus larges pour l’évacuation des eaux de pluie vers le fleuve Oubangui, au sud de Bangui.
Ils se sont toutefois engagés à reprendre les travaux, en rajoutant une couche supplémentaire de bitume pour les chaussées et en reconstruisant les parois des caniveaux.
Financés par l’Union Européenne à hauteur de 6,3 millions d’euros (environ 4,1 milliards F CFA) à, ces travaux prévus pour 12 mois devaient permettre, grâce à la technique dite d’enduit superficiel, de réhabiliter 9 km de chaussée sur les avenues Koudoukou et Boganda, alors criblées de nids-de-poule.
