L’enjeu de cette rentrée judiciaire est de permettre aux acteurs judiciaires d’évoquer avec le Chef de l’Etat, Président du Conseil supérieur de la Magistrature (CSM) des problèmes liés au fonctionnement du système judiciaire.
Le Président Faustin-Archange Touadéra s’est réjoui du fait que toutes les instructions concernant la mise en place de la Cour Pénale Spéciale et son fonctionnement aient été exécutées, notamment la nomination du Procureur près cette Cour ainsi que des juges d’instruction internationaux.
Il a annoncé que très bientôt, les juges nationaux et les officiers de police judiciaire près ladite Cour seront désignés pour éviter le dépérissement des preuves d’infraction.
Il s’est également réjoui de l’adoption du Code de justice militaire et de la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales ainsi que de la mise en place de la Haute Cour de Justice qui viennent renforcer l‘arsenal juridique national.
Selon lui, la justice devrait être le rempart du citoyen contre l’arbitraire, l’anarchie, voire l’impunité et que c’est elle seule qui est légitime pour réprimer les violations des droits de l’Homme et des autres abus ou excès contre la société et l’Etat.
Il a indiqué que dans le cas de la RCA qui sort d’un conflit, la justice a un rôle important à jouer pour la consolidation de la paix, de la restauration de l’autorité de l’Etat, du vivre ensemble et de la cohésion sociale.
Le Premier Président de la Cour de Cassation, José-Christian Londoumon, a quant à lui, fait un plaidoyer auprès du gouvernement et des partenaires au développement pour qu’ils appuient le système judiciaire dépourvu de moyens.
Il a exhorté le gouvernement à assurer la sécurité des magistrats contre d’éventuelles menaces venant de justiciables mécontents des décisions de justice.
Il convient de souligner que cette rentrée judiciaire a réuni les magistrats de l’ordre judiciaire et de l’ordre administratif.
Le Président Faustin-Archange Touadéra s’est réjoui du fait que toutes les instructions concernant la mise en place de la Cour Pénale Spéciale et son fonctionnement aient été exécutées, notamment la nomination du Procureur près cette Cour ainsi que des juges d’instruction internationaux.
Il a annoncé que très bientôt, les juges nationaux et les officiers de police judiciaire près ladite Cour seront désignés pour éviter le dépérissement des preuves d’infraction.
Il s’est également réjoui de l’adoption du Code de justice militaire et de la loi portant organisation et fonctionnement de la Commission des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales ainsi que de la mise en place de la Haute Cour de Justice qui viennent renforcer l‘arsenal juridique national.
Selon lui, la justice devrait être le rempart du citoyen contre l’arbitraire, l’anarchie, voire l’impunité et que c’est elle seule qui est légitime pour réprimer les violations des droits de l’Homme et des autres abus ou excès contre la société et l’Etat.
Il a indiqué que dans le cas de la RCA qui sort d’un conflit, la justice a un rôle important à jouer pour la consolidation de la paix, de la restauration de l’autorité de l’Etat, du vivre ensemble et de la cohésion sociale.
Le Premier Président de la Cour de Cassation, José-Christian Londoumon, a quant à lui, fait un plaidoyer auprès du gouvernement et des partenaires au développement pour qu’ils appuient le système judiciaire dépourvu de moyens.
Il a exhorté le gouvernement à assurer la sécurité des magistrats contre d’éventuelles menaces venant de justiciables mécontents des décisions de justice.
Il convient de souligner que cette rentrée judiciaire a réuni les magistrats de l’ordre judiciaire et de l’ordre administratif.