POLITIQUE
L’objectif de cette distinction honorifique est de stimuler les responsables du complexe scolaire centrafricano-turque à cause de l’immeuble dont ils viennent de doter le secteur de l’éducation nationale et dont le coût des travaux s’élève à environ un milliard de francs CFA.
La ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Population, Fernande Ndjengbot, au nom de son collègue du Ministère de l’Education nationale empêché, a reconnu que le secteur de « l’éducation en République Centrafricaine est atout indispensable pour le développement, pour faire progresser le pays vers les idéaux de paix et de développement harmonieux, authentique et faire reculer la pauvreté, les incompréhensions et les conflits internes ».
Elle a cependant déploré « les conséquences des douloureux événements qui ont secoué le pays et qui ont été à l’origine des destructions d’infrastructures scolaires, le pillage des mobiliers et des manuels scolaires pourtant indispensable pour l’éducation des jeunes Centrafricains ».
Elle a rappelé, avec regret, le fait déjà à compter de 2004, l’ONG Hizmet œuvrait déjà en faveur de la vie scolaire en République Centrafricaine par l’offre aux enfants d’un environnement moderne, sain et en stimulant chez eux l’esprit d’un apprentissage réussi ».
Sans être pessimiste, elle a demandé aux partenaires bilatéraux et multilatéraux de la République Centrafricaine, aux organismes internationaux, aux ONGs et autres partenaires du système éducatif centrafricain, d’apporter leur soutien désengagé à la reconstruction du pays, en mettant surtout l’accent sur le secteur de l’éducation nationale.
Le Directeur général du complexe scolaire international centrafricano-turque, Yasar Saginç, a estimé qu’il a « doté la capitale de la République Centrafricaine d’un établissement moderne qui fait que le pays n’a rien à envier aux autres Etats ».
Cet établissement, d’après lui, est doté d’un laboratoire, de salles informatiques, de salles de cinéma et d’une salle de conférence de 400 places. Il a aussi pensé que cette salle de conférence est en mesure d’accueillir les réunions internationales ».
La ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Population, Fernande Ndjengbot, au nom de son collègue du Ministère de l’Education nationale empêché, a reconnu que le secteur de « l’éducation en République Centrafricaine est atout indispensable pour le développement, pour faire progresser le pays vers les idéaux de paix et de développement harmonieux, authentique et faire reculer la pauvreté, les incompréhensions et les conflits internes ».
Elle a cependant déploré « les conséquences des douloureux événements qui ont secoué le pays et qui ont été à l’origine des destructions d’infrastructures scolaires, le pillage des mobiliers et des manuels scolaires pourtant indispensable pour l’éducation des jeunes Centrafricains ».
Elle a rappelé, avec regret, le fait déjà à compter de 2004, l’ONG Hizmet œuvrait déjà en faveur de la vie scolaire en République Centrafricaine par l’offre aux enfants d’un environnement moderne, sain et en stimulant chez eux l’esprit d’un apprentissage réussi ».
Sans être pessimiste, elle a demandé aux partenaires bilatéraux et multilatéraux de la République Centrafricaine, aux organismes internationaux, aux ONGs et autres partenaires du système éducatif centrafricain, d’apporter leur soutien désengagé à la reconstruction du pays, en mettant surtout l’accent sur le secteur de l’éducation nationale.
Le Directeur général du complexe scolaire international centrafricano-turque, Yasar Saginç, a estimé qu’il a « doté la capitale de la République Centrafricaine d’un établissement moderne qui fait que le pays n’a rien à envier aux autres Etats ».
Cet établissement, d’après lui, est doté d’un laboratoire, de salles informatiques, de salles de cinéma et d’une salle de conférence de 400 places. Il a aussi pensé que cette salle de conférence est en mesure d’accueillir les réunions internationales ».
