Officiellement, ces lieux de culte sont : l’église Christ-Roi (1er Arrondissement), l’Union des églises baptistes de Dékongo (2ème Arrondissement), l’église des Frères des Castors (3ème Arrondissement), l’église évangélique de la fraternité apostolique (4ème Arrondissement), l’église ANEB de Ngou-ciment (5ème Arrondissement), l’église de Coopération de Fatima ((6ème Arrondissement) et la paroisse Saint-Jean de Galabadja (8ème Arrondissement).
Deux autres lieux de culte, à savoir : l’église EFEB de Bégoua et la paroisse Saint-Antoine de Padoue, à Bimbo, ont été retenus pour accueillir ces offices religieux.
A l’église du Christ-Roi, où deux membres du gouvernement, le Ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, et son collègue de la Communication et des Médias et porte-parole du gouvernement, Ange-Maxime Kazagui, se sont rendus, l’homélie du Pasteur Jacqueline Abita a porté sur l’amour du prochain, la justice, le pardon et la paix, tiré du livre des corinthiens (15 : 20 à 28) et de l’évangile de Matthieu (25 :31 à 46).
M. Dondra a émis le vœu que les communautés religieuses prient pour la République Centrafricaine, un pays en proie aux crises politico-militaires.
Dans sa prière, M. Kazagui a invoqué le Tout-puissant pour qu’il ramène définitivement dans le pays la paix et la réconciliation véritable entre les citoyens.
A l’église des Frères des Castors, où s'est rendue la Ministre de la Défense nationale et de la Reconstruction de l’armée, Marie-Noëlle Koyara, le Pasteur David Béndima a tiré son message du Psaume 106 (verset 12 : 13), dont l’idée centrale est la libération des Israélites de l’oppression de Pharaon.
Le passage choisi par le pasteur pour faire passer son message se rapporte quelque peu à l’histoire de la République Centrafricaine, pour laquelle le président fondateur Barthélemy Boganda avait donné sa vie. Aujourd’hui, ce pays est secoué, presque toutes les décennies, par des crises politico-militaires qui affectent négativement le tissu socioéconomique.
Presque tous les passages choisis font allusion à l’histoire de la RCA, émaillée de crises politico-militaires intervenant presque tous les dix ans.
Pour la petite histoire, Barthélemy Boganda rêvait des Etats-Unis d’Afrique latine regroupant l’Oubangui-Chari, le Cameroun, le Gabon, le Congo-Brazza, le Tchad et la Guinée Équatoriale qu’il comptait désigner sous la dénomination de République Centrafricaine.
Malheureusement, Boganda a été obligée de s’en tenir à l’Oubangui-Chari, devenu République Centrafricaine le 1er décembre 1958, son projet fédérateur n'ayant pas obtenu l'adhésion de ses pairs de l'Afrique centrale.
Bien que combattue, l’idée de Boganda a ressurgi, en 1964, pour donner lieu à l’Union Douanière et Économique d’Afrique Centrale (UDEAC), devenue Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) le 16 mars 1994.
Deux autres lieux de culte, à savoir : l’église EFEB de Bégoua et la paroisse Saint-Antoine de Padoue, à Bimbo, ont été retenus pour accueillir ces offices religieux.
A l’église du Christ-Roi, où deux membres du gouvernement, le Ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, et son collègue de la Communication et des Médias et porte-parole du gouvernement, Ange-Maxime Kazagui, se sont rendus, l’homélie du Pasteur Jacqueline Abita a porté sur l’amour du prochain, la justice, le pardon et la paix, tiré du livre des corinthiens (15 : 20 à 28) et de l’évangile de Matthieu (25 :31 à 46).
M. Dondra a émis le vœu que les communautés religieuses prient pour la République Centrafricaine, un pays en proie aux crises politico-militaires.
Dans sa prière, M. Kazagui a invoqué le Tout-puissant pour qu’il ramène définitivement dans le pays la paix et la réconciliation véritable entre les citoyens.
A l’église des Frères des Castors, où s'est rendue la Ministre de la Défense nationale et de la Reconstruction de l’armée, Marie-Noëlle Koyara, le Pasteur David Béndima a tiré son message du Psaume 106 (verset 12 : 13), dont l’idée centrale est la libération des Israélites de l’oppression de Pharaon.
Le passage choisi par le pasteur pour faire passer son message se rapporte quelque peu à l’histoire de la République Centrafricaine, pour laquelle le président fondateur Barthélemy Boganda avait donné sa vie. Aujourd’hui, ce pays est secoué, presque toutes les décennies, par des crises politico-militaires qui affectent négativement le tissu socioéconomique.
Presque tous les passages choisis font allusion à l’histoire de la RCA, émaillée de crises politico-militaires intervenant presque tous les dix ans.
Pour la petite histoire, Barthélemy Boganda rêvait des Etats-Unis d’Afrique latine regroupant l’Oubangui-Chari, le Cameroun, le Gabon, le Congo-Brazza, le Tchad et la Guinée Équatoriale qu’il comptait désigner sous la dénomination de République Centrafricaine.
Malheureusement, Boganda a été obligée de s’en tenir à l’Oubangui-Chari, devenu République Centrafricaine le 1er décembre 1958, son projet fédérateur n'ayant pas obtenu l'adhésion de ses pairs de l'Afrique centrale.
Bien que combattue, l’idée de Boganda a ressurgi, en 1964, pour donner lieu à l’Union Douanière et Économique d’Afrique Centrale (UDEAC), devenue Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) le 16 mars 1994.