L’objectif de cette consultation est de recueillir des avis et des suggestions en vue de renforcer les interventions du Groupe de la Banque Mondiale en Afrique.
Le Ministre délégué au Plan, à l’Economie et à la Coopération Internationale, M. Raymond Adouma l’un des participants a indiqué que «nous allons nous concentrer sur les besoins utiles et prioritaires pour faciliter la Banque Mondiale afin d’assoir ses stratégies d’interventions en République Centrafricaine »
La Représentante Résidente de la Banque Mondiale, Mme Jelena Pantelic a indiqué qu’ « Il s’agit d’un plan d’action pour l’Afrique, pour que la Banque Mondiale, sur le plan stratégique, oriente ses objectifs vers les résultats communs, positifs et durables».
« C’est une opportunité de donner des points de vue sur la direction stratégique que la Banque Mondiale doit mettre en œuvre pour l’ Afrique » a-t-elle ajouté.
M. Marcel Nganassem, Directeur Général de l’AGETIP/CAF, facilitateur desdits travaux a précisé que «la Banque Mondiale procède actuellement au réexamen de la stratégie pour l’Afrique qui devrait être finalisée fin d’année 2010 et début d’année 2011. »
Selon la note d’information de la banque mondiale, l’effet combiné de la faible demande à l’exportation, la baisse des prix des produits de base, la diminution des flux de capitaux privés qui avaient excédé l’aide étrangère en 2007, la diminution des envois de fonds, la baisse des recettes touristiques, et la baisse des recettes publiques ont entraîné une réduction du taux de croissance économique de l’Afrique de près de quatre points en 2009.
La crise financière mondiale a ralenti les progrès accomplis dans la lutte contre la pauvreté en Afrique, et précipitera 20 millions de personnes de plus dans une pauvreté extrême d’ici à 2015, tandis que l’évolution à la hausse des prix des denrées alimentaires de base observée récemment sur les marchés intérieurs continue de mettre en péril la sécurité alimentaire et la nutrition dans la région.
Dans un contexte de redressement de l’économie mondiale, l’Afrique subsaharienne connait un rebond de l’activité économique. Après avoir enregistré un taux de croissance estimé à 1,6% en 2009, la production devrait progresser, selon les projections, d’environ 4,2% en 2010 ce qui représente un redressement plus rapide que lors des crises précédentes qu’a connues l’Afrique.
Il est à signaler que l’engagement du Groupe de la Banque Mondiale en Afrique pendant ces dernières années a été guidé par le plan d’action pour l’Afrique (AAP). Il a été élaboré en 2005, à une période où l’économie mondiale était dans une période favorable et où l’aide à l’Afrique était en nette augmentation pour aider tous les pays africains à réaliser le plus grand nombre possible des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD).
Il convient de noter que cette nouvelle stratégie définira la manière dont la Banque Mondiale peut mieux soutenir le continent, concilier les exigences concurrentes, favoriser des synergies et faire face aux compromis afin de permettre aux pays africains d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement.
Le Ministre délégué au Plan, à l’Economie et à la Coopération Internationale, M. Raymond Adouma l’un des participants a indiqué que «nous allons nous concentrer sur les besoins utiles et prioritaires pour faciliter la Banque Mondiale afin d’assoir ses stratégies d’interventions en République Centrafricaine »
La Représentante Résidente de la Banque Mondiale, Mme Jelena Pantelic a indiqué qu’ « Il s’agit d’un plan d’action pour l’Afrique, pour que la Banque Mondiale, sur le plan stratégique, oriente ses objectifs vers les résultats communs, positifs et durables».
« C’est une opportunité de donner des points de vue sur la direction stratégique que la Banque Mondiale doit mettre en œuvre pour l’ Afrique » a-t-elle ajouté.
M. Marcel Nganassem, Directeur Général de l’AGETIP/CAF, facilitateur desdits travaux a précisé que «la Banque Mondiale procède actuellement au réexamen de la stratégie pour l’Afrique qui devrait être finalisée fin d’année 2010 et début d’année 2011. »
Selon la note d’information de la banque mondiale, l’effet combiné de la faible demande à l’exportation, la baisse des prix des produits de base, la diminution des flux de capitaux privés qui avaient excédé l’aide étrangère en 2007, la diminution des envois de fonds, la baisse des recettes touristiques, et la baisse des recettes publiques ont entraîné une réduction du taux de croissance économique de l’Afrique de près de quatre points en 2009.
La crise financière mondiale a ralenti les progrès accomplis dans la lutte contre la pauvreté en Afrique, et précipitera 20 millions de personnes de plus dans une pauvreté extrême d’ici à 2015, tandis que l’évolution à la hausse des prix des denrées alimentaires de base observée récemment sur les marchés intérieurs continue de mettre en péril la sécurité alimentaire et la nutrition dans la région.
Dans un contexte de redressement de l’économie mondiale, l’Afrique subsaharienne connait un rebond de l’activité économique. Après avoir enregistré un taux de croissance estimé à 1,6% en 2009, la production devrait progresser, selon les projections, d’environ 4,2% en 2010 ce qui représente un redressement plus rapide que lors des crises précédentes qu’a connues l’Afrique.
Il est à signaler que l’engagement du Groupe de la Banque Mondiale en Afrique pendant ces dernières années a été guidé par le plan d’action pour l’Afrique (AAP). Il a été élaboré en 2005, à une période où l’économie mondiale était dans une période favorable et où l’aide à l’Afrique était en nette augmentation pour aider tous les pays africains à réaliser le plus grand nombre possible des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD).
Il convient de noter que cette nouvelle stratégie définira la manière dont la Banque Mondiale peut mieux soutenir le continent, concilier les exigences concurrentes, favoriser des synergies et faire face aux compromis afin de permettre aux pays africains d’atteindre les objectifs du millénaire pour le développement.