Dans son discours de clôture, Alfred Taïnga-Poloko, a indiqué que cette première session ordinaire qui s’achève a autorisé aux conseillers de donner leur avis sur six projets de loi et de proposer au gouvernement un projet de loi conformément au principe d’auto saisine que leur confère la loi.
« Il s’agit des projets de loi portant charte des investisseurs en Centrafrique, portant normalisation, certification, accréditation et promotion de la qualité en République Centrafricaine, portant code foncier agropastoral, portant code de la pêche, de l’aquaculture, régissant les organisations professionnelles agricoles et rurales et instituant le système national de métrologie en République Centrafricaine », a-t-il énuméré.
Alfred Taïnga-Poloko fait savoir que la place du CES dans l’architecture institutionnelle du pays obéit à cette exigence démocratique et de consolidation d’un Etat de droit, en même temps sa mission traduit la volonté du peuple centrafricain.
Le Président du CES a constaté que les membres du CES sont désormais au même niveau d’information et maîtrisent les mêmes référentiels théoriques autour desquels sont articulés les grands enjeux du développement des Etats comme le nôtre.
Le ministre des Postes et Télécommunication et des Nouvelles Technologies, Justin GournaZacko, a sollicité l’appui du CES dans le contexte actuel de la reconstruction de la République Centrafricaine, et leur détermination à la mise en œuvre du programme du gouvernement, notamment le plan de relèvement et de consolidation de la paix en Centrafrique (RCPCA).
Il convient de rappeler que cette première session ordinaire, qui a démarré le 1er août 2017, a permis aux conseillers économique et sociaux d’être édifiés entre autres sur l’enquête national sur les monographies communales, l'aperçu général sur la RCA, la place et le rôle dans son entité et au sein de la société pendant les sessions et les intersessions, la justice et la paix : quels espoirs pour les victimes des crises en Centrafrique de 2003 à 2017.
Il est à noter que le Conseil Economique et Social est une assemblée consultative en matière économique, sociale, culturelle et environnementale qui fait partie des six institutions républicaines prévues par la Constitution du 30 mars 2016.
« Il s’agit des projets de loi portant charte des investisseurs en Centrafrique, portant normalisation, certification, accréditation et promotion de la qualité en République Centrafricaine, portant code foncier agropastoral, portant code de la pêche, de l’aquaculture, régissant les organisations professionnelles agricoles et rurales et instituant le système national de métrologie en République Centrafricaine », a-t-il énuméré.
Alfred Taïnga-Poloko fait savoir que la place du CES dans l’architecture institutionnelle du pays obéit à cette exigence démocratique et de consolidation d’un Etat de droit, en même temps sa mission traduit la volonté du peuple centrafricain.
Le Président du CES a constaté que les membres du CES sont désormais au même niveau d’information et maîtrisent les mêmes référentiels théoriques autour desquels sont articulés les grands enjeux du développement des Etats comme le nôtre.
Le ministre des Postes et Télécommunication et des Nouvelles Technologies, Justin GournaZacko, a sollicité l’appui du CES dans le contexte actuel de la reconstruction de la République Centrafricaine, et leur détermination à la mise en œuvre du programme du gouvernement, notamment le plan de relèvement et de consolidation de la paix en Centrafrique (RCPCA).
Il convient de rappeler que cette première session ordinaire, qui a démarré le 1er août 2017, a permis aux conseillers économique et sociaux d’être édifiés entre autres sur l’enquête national sur les monographies communales, l'aperçu général sur la RCA, la place et le rôle dans son entité et au sein de la société pendant les sessions et les intersessions, la justice et la paix : quels espoirs pour les victimes des crises en Centrafrique de 2003 à 2017.
Il est à noter que le Conseil Economique et Social est une assemblée consultative en matière économique, sociale, culturelle et environnementale qui fait partie des six institutions républicaines prévues par la Constitution du 30 mars 2016.