POLITIQUE
« La joie qui illumine chaque visage dans cette salle témoigne de la sérénité et de la franchise de nos débats. C’est pour moi la meilleure preuve que sans dialogue, aussi âpre soit-il, rien ne peut se faire. Nous sommes tous, à quelque niveau que ce soit, condamnés à œuvrer ensemble pour engager résolument notre pays sur la voie du développement dans la paix. Car sans la paix, il n’y a pas de démocratie et sans la démocratie, il n’y a pas de démocratie, il n’y a point de développement », a déclaré Lamine Cissé.
Il a relevé que « l’objectif principal de la rencontre était de mettre ensemble des idées, dans une sorte de ‘’brainstorming’’ pour recueillir tout ce qui serait susceptible de mener vers le dialogue politique inclusif. Nous avons réussi le pari ; vous, acteurs de la vie nationale ; nous organisateurs, ainsi que les facilitateurs, le centre pour le dialogue humain ».
M. Cissé a également déclaré que « l’intérêt national a primé sur toute autre forme de considération, démontrant ainsi la volonté de tous, de tourner définitivement la page des troubles politiques ».
Interrogé par l’ACAP, M. Cyriaque Gonda, Président du Parti National pour un Centrafrique Nouveau (PNCN), parti de la majorité présidentielle, président de la rencontre a déclaré que « nul n’a le monopole du patriotisme (…), mais tous, avons l’intention de vouloir apporter le bonheur à notre pays de manière différente et par des voies différentes ».
Il a affirmé que cette échange de vues a été nécessaire et riche tant pour la majorité que pour l’opposition et pour la société civile, relevant que l’expérience a toujours démontré que sans le dialogue on ne peut rien faire pour avancer le pays.
M. Gonda souhaite que ce dialogue soit porteur d’espoir et qu’il amène la République Centrafricaine sur le chemin de la paix et de la concorde.
La rencontre avait regroupé les différentes formations politiques représentées en RCA, ainsi que les ONG, les associations de jeunes, de femmes, des associations de droit de l’homme, le syndicat et la société civile. Elle a permis aux participants, aidés par les co-modérateurs, Martin Griffiths et Berhanou Abebe du Centre de dialogue humanitaire, de réfléchir après l’exposé sur les leçons tirées du dialogue national de 2003, sur l’agenda, les critères de participation, le lieu et le calendrier du dialogue politique inclusif.
Notez que le président Centrafricain, François Bozizé avait annoncé dans sa déclaration à la nation le 12 août dernier à l'occasion du 47ème anniversaire de l'indépendance de la République Centrafricaine la mise en place d'un comité chargé de préparer un dialogue politique qu'il prévoit « dans les meilleurs délais ».
Il a relevé que « l’objectif principal de la rencontre était de mettre ensemble des idées, dans une sorte de ‘’brainstorming’’ pour recueillir tout ce qui serait susceptible de mener vers le dialogue politique inclusif. Nous avons réussi le pari ; vous, acteurs de la vie nationale ; nous organisateurs, ainsi que les facilitateurs, le centre pour le dialogue humain ».
M. Cissé a également déclaré que « l’intérêt national a primé sur toute autre forme de considération, démontrant ainsi la volonté de tous, de tourner définitivement la page des troubles politiques ».
Interrogé par l’ACAP, M. Cyriaque Gonda, Président du Parti National pour un Centrafrique Nouveau (PNCN), parti de la majorité présidentielle, président de la rencontre a déclaré que « nul n’a le monopole du patriotisme (…), mais tous, avons l’intention de vouloir apporter le bonheur à notre pays de manière différente et par des voies différentes ».
Il a affirmé que cette échange de vues a été nécessaire et riche tant pour la majorité que pour l’opposition et pour la société civile, relevant que l’expérience a toujours démontré que sans le dialogue on ne peut rien faire pour avancer le pays.
M. Gonda souhaite que ce dialogue soit porteur d’espoir et qu’il amène la République Centrafricaine sur le chemin de la paix et de la concorde.
La rencontre avait regroupé les différentes formations politiques représentées en RCA, ainsi que les ONG, les associations de jeunes, de femmes, des associations de droit de l’homme, le syndicat et la société civile. Elle a permis aux participants, aidés par les co-modérateurs, Martin Griffiths et Berhanou Abebe du Centre de dialogue humanitaire, de réfléchir après l’exposé sur les leçons tirées du dialogue national de 2003, sur l’agenda, les critères de participation, le lieu et le calendrier du dialogue politique inclusif.
Notez que le président Centrafricain, François Bozizé avait annoncé dans sa déclaration à la nation le 12 août dernier à l'occasion du 47ème anniversaire de l'indépendance de la République Centrafricaine la mise en place d'un comité chargé de préparer un dialogue politique qu'il prévoit « dans les meilleurs délais ».
