POLITIQUE
« Ce projet vise non seulement à assurer une formation professionnelle d’au moins trois cent(300) filles libres qui font la prostitution en vue de leur autonomisation, mais également à identifier celles qui sont à l’étranger, notamment au Gabon, afin de les ramener au pays », a indiqué le ministre Ambroise Zawa.
« Ces filles seront invitées, à travers une campagne de sensibilisation intense, pour une formation qui leur permettra de s’intégrer dans diverses structures de service de réinsertion », a ajouté M. Zawa.
Selon lui, les multiples conflits militaro-politique qu’a connus la République centrafricaine ainsi que la crise économique ont entraîné une dégradation du tissu social et une érosion économique dans les ménages, rendant difficile une prise en charge adéquate des enfants et celle des filles en particulier.
« Cela a pour conséquence le développement de la prostitution, exposant ces fillesou femmes libres au VIH/Sida et au phénomène des filles mères », a-t-il ajouté.
« C’est dans ce contexte que ce projet vise à valoriser la femme Centrafricaine, à redonner toute sa dignité et à soigner son image et l’image du pays, surtout à donner aux filles libres et mères une formation professionnelle dans les domaines du marketing, de la communication et des relations publiques,de l’accueil, de la couture et de l'hôtellerie afin de faciliter leur réinsertion ».
« Ces filles seront invitées, à travers une campagne de sensibilisation intense, pour une formation qui leur permettra de s’intégrer dans diverses structures de service de réinsertion », a ajouté M. Zawa.
Selon lui, les multiples conflits militaro-politique qu’a connus la République centrafricaine ainsi que la crise économique ont entraîné une dégradation du tissu social et une érosion économique dans les ménages, rendant difficile une prise en charge adéquate des enfants et celle des filles en particulier.
« Cela a pour conséquence le développement de la prostitution, exposant ces fillesou femmes libres au VIH/Sida et au phénomène des filles mères », a-t-il ajouté.
« C’est dans ce contexte que ce projet vise à valoriser la femme Centrafricaine, à redonner toute sa dignité et à soigner son image et l’image du pays, surtout à donner aux filles libres et mères une formation professionnelle dans les domaines du marketing, de la communication et des relations publiques,de l’accueil, de la couture et de l'hôtellerie afin de faciliter leur réinsertion ».
