POLITIQUE
M. Hoza a fait cette déclaration au cours d'un atelier de formation des professionnels des médias sur la réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile qui s'est ouvert à Boali (95 km au nord-ouest de Bangui).
L'objet de cet atelier, qui regroupe une vingtaine de professionnels des médias publics et privés de la République Centrafricaine, est de renforcer les capacités de ceux-ci en dissémination des messages en santé d ela reproduction, en général, et en réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile, en particulier afin de contribuer à rendre disponibles les informations sur la prévention de décès.
L'une des intervenantes, Mme Aminata Kom, a fait remarquer que le taux de mortalité maternelle, néonalale et infantile est de 1355 pour 100 000 naissances. Pour pouvoir réduire cette mortalité de 3/4 d'ici 2015, elle a évoqué 3 raisons à l'origine de la plupart de ces décès, à savoir la décision de partir en consultation prénatale, l'accessibilité géographique et la recevabilité des soins au niveau des formations sanitaires.
Pour M. Augustin Dibert, responsable de la communication à l'OMS, Centrafrique, la santé de la reproduction n'est pas l'affaire du seul personnel de la santé publique, mais vise la participation de tous (politique, législation, éducation, affaire sociales, etc.) par le plaidoyer, la médiation, le lobbying et le marketing social.
Il convient de préciser que les discussions prévus au cours de cet atelier de 4 jours porteront sur la promotion de la santé de la reproduction, la feuille de route sur la mortalité maternelle, néonatale et infantile, les jeunes filles et les grossesses non désitées et les causes des décès.
L'objet de cet atelier, qui regroupe une vingtaine de professionnels des médias publics et privés de la République Centrafricaine, est de renforcer les capacités de ceux-ci en dissémination des messages en santé d ela reproduction, en général, et en réduction de la mortalité maternelle, néonatale et infantile, en particulier afin de contribuer à rendre disponibles les informations sur la prévention de décès.
L'une des intervenantes, Mme Aminata Kom, a fait remarquer que le taux de mortalité maternelle, néonalale et infantile est de 1355 pour 100 000 naissances. Pour pouvoir réduire cette mortalité de 3/4 d'ici 2015, elle a évoqué 3 raisons à l'origine de la plupart de ces décès, à savoir la décision de partir en consultation prénatale, l'accessibilité géographique et la recevabilité des soins au niveau des formations sanitaires.
Pour M. Augustin Dibert, responsable de la communication à l'OMS, Centrafrique, la santé de la reproduction n'est pas l'affaire du seul personnel de la santé publique, mais vise la participation de tous (politique, législation, éducation, affaire sociales, etc.) par le plaidoyer, la médiation, le lobbying et le marketing social.
Il convient de préciser que les discussions prévus au cours de cet atelier de 4 jours porteront sur la promotion de la santé de la reproduction, la feuille de route sur la mortalité maternelle, néonatale et infantile, les jeunes filles et les grossesses non désitées et les causes des décès.
