Plusieurs manifestations culturelles ont eu lieu à cette occasion, à savoir notamment un mouvement d’ensemble des élèves de l’école d’Alindao, un poème en guise d’hommage aux enseignants, un sketch sur la scolarisation des filles et des animations d’une dizaine de groupes de danse traditionnelle qui ont tenu en haleine les nombreux spectateurs venus des différentes localités alentour pour voir la représentation de l’artiste musicien français, Gilles Buttin.
S'exprimant à l'ouverture des manifestations, M. Youssoufa Mandjo a appelé les Etats francophones à créer "des structures adéquates pouvant permettre de véhiculer le français car l'anglais tend aujourd'hui à supplanter toutes les autres langues de communication".
S'agissant de la République Centrafricaine, il a indiqué que "le voeu le plus ardent du gouvernement est la création à l'est, plus précisément dans la Basse-Kotto d'un centre culturel français pour favoriser l'apprentissage et surtout l'amélioration de la langue de la mère patrie".
Pour sa part, le député d'Alindao, M. Fidèle Abouka, a déploré l'extrême faiblesse du taux de scolarisation dans la Basse-Kotto (25%) et a exprimé le voeu de le voir remonter grâce à l'action de la francophonie.
Il convient de signaler qu'avant d'atteindre Bambari (388 km de Bangui), où un repos est prévu dans la journée du 12 mars, la caravane a marqué un arrêt à Bokolobo (448 km de Bangui) pour visiter une école pilote construite par la coopération française pour les enfants d'éleveurs peuhls.
Grâce à ses chansons, Gilles Buttin a vite fait de se familiariser avec les élèves de l'école.
S'exprimant à l'ouverture des manifestations, M. Youssoufa Mandjo a appelé les Etats francophones à créer "des structures adéquates pouvant permettre de véhiculer le français car l'anglais tend aujourd'hui à supplanter toutes les autres langues de communication".
S'agissant de la République Centrafricaine, il a indiqué que "le voeu le plus ardent du gouvernement est la création à l'est, plus précisément dans la Basse-Kotto d'un centre culturel français pour favoriser l'apprentissage et surtout l'amélioration de la langue de la mère patrie".
Pour sa part, le député d'Alindao, M. Fidèle Abouka, a déploré l'extrême faiblesse du taux de scolarisation dans la Basse-Kotto (25%) et a exprimé le voeu de le voir remonter grâce à l'action de la francophonie.
Il convient de signaler qu'avant d'atteindre Bambari (388 km de Bangui), où un repos est prévu dans la journée du 12 mars, la caravane a marqué un arrêt à Bokolobo (448 km de Bangui) pour visiter une école pilote construite par la coopération française pour les enfants d'éleveurs peuhls.
Grâce à ses chansons, Gilles Buttin a vite fait de se familiariser avec les élèves de l'école.