POLITIQUE
Dans un message à l’occasion de la journée internationale de la paix, le président du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (MLPC, ancien parti au pouvoir) déplore qu’en République Centrafricaine « depuis plus d’une décennie, des conflits armés sont nés, en général pour tenter de faire prévaloir des intérêts personnels, catégoriels et égoïstes, occasionnant la mort de plusieurs milliers de nos compatriotes innocents et sans défense ».
Il rappelle que « des centaines de milliers de Centrafricaines et Centrafricains fuyant des zones de conflits ont abandonné leurs maisons, leurs familles et leurs activités quotidiennes pour se réfugier dans la brousse à l’intérieur du pays, tout comme à l’extérieur du pays ».
Considérant que cette situation est due entre autres à la « fabrication incontrôlée d’armes de guerre et surtout d’armes de destruction massive », M. Ziguélé invite l’opinion publique à « exiger de tous les gouvernements à mettre un terme à leur fabrication et à ceux qui en ont déjà fabriquées de les détruire sans condition ».
L’appel de l’ancien Premier ministre, désigné par son parti pour être candidat à la prochaine élection présidentielle, intervient 48 heures après la célébration anticipée de la journée internationale de la paix organisée, samedi 19 septembre à Bangui, en présence du ministre d’Etat chargé de la Communication, Cyriaque Gonda, et de la Représentante du Secrétaire général des nations Unies, Mme Sahle Work-Zewde.
« Le gouvernement, sur la base de plusieurs documents, s’est déjà impliqué dans le processus du désarmement. Les politico-militaires se sont engagés et veulent aller promptement au désarmement. Les civils ne souhaitent que le désarmement. Ainsi donc, allons tous au désarmement avec un cœur et un esprit sereins », a déclaré, à cette occasion, M. Gonda qui s’exprimait au nom du gouvernement.
Mme Work-Zewde a pour sa part réaffirmé l’engagement du Bureau des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA) à appuyer l’action de consolidation de la paix en République Centrafricaine, estimant que « La nouvelle société centrafricaine réconciliée avec elle-même devra vivre dans la paix, la concorde et l’unité, indispensables à son développement et à son mieux-être car il n’y pas d’autres alternatives », a-t-elle déclaré.
Il rappelle que « des centaines de milliers de Centrafricaines et Centrafricains fuyant des zones de conflits ont abandonné leurs maisons, leurs familles et leurs activités quotidiennes pour se réfugier dans la brousse à l’intérieur du pays, tout comme à l’extérieur du pays ».
Considérant que cette situation est due entre autres à la « fabrication incontrôlée d’armes de guerre et surtout d’armes de destruction massive », M. Ziguélé invite l’opinion publique à « exiger de tous les gouvernements à mettre un terme à leur fabrication et à ceux qui en ont déjà fabriquées de les détruire sans condition ».
L’appel de l’ancien Premier ministre, désigné par son parti pour être candidat à la prochaine élection présidentielle, intervient 48 heures après la célébration anticipée de la journée internationale de la paix organisée, samedi 19 septembre à Bangui, en présence du ministre d’Etat chargé de la Communication, Cyriaque Gonda, et de la Représentante du Secrétaire général des nations Unies, Mme Sahle Work-Zewde.
« Le gouvernement, sur la base de plusieurs documents, s’est déjà impliqué dans le processus du désarmement. Les politico-militaires se sont engagés et veulent aller promptement au désarmement. Les civils ne souhaitent que le désarmement. Ainsi donc, allons tous au désarmement avec un cœur et un esprit sereins », a déclaré, à cette occasion, M. Gonda qui s’exprimait au nom du gouvernement.
Mme Work-Zewde a pour sa part réaffirmé l’engagement du Bureau des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA) à appuyer l’action de consolidation de la paix en République Centrafricaine, estimant que « La nouvelle société centrafricaine réconciliée avec elle-même devra vivre dans la paix, la concorde et l’unité, indispensables à son développement et à son mieux-être car il n’y pas d’autres alternatives », a-t-elle déclaré.
