POLITIQUE
M. Andjembé a déclaré que l’objectif de la rencontre de Bangui est de « moderniser l’institution d’émission, la rendre crédible », précisant que le conseil leur a demandé d’intégrer dans leurs orientations un plan triennal, y compris toutes les ressources de la banque pendant trois ans.
« Donc il faut moderniser la banque pour la hisser au niveau des autres banques centrales au standard international », a ajouté le Gouverneur.
Le conseil de Bangui a permis de tenir deux conseils. Le premier qui est extraordinaire fait suite aux décisions du conseil de Paris. Il s’agit de revoir l’article 37 des statuts de la banque qui porte sur la répartition des résultats de la banque dès que les réserves ont été dégagées.
M. Andjembé a précisé que l’un des points importants inscrits au programme est « que la banque centrale puisse participer à l’activité économique de la sous-région », relevant que les ministres et administrateurs avaient souhaité à leurs réunions que « lors des dégagements des bénéfices de la banque, un canton de ces bénéfices soit consacré aux projets intégrateurs de la sous-région, dont 20% vont être consacrés pour financer le fonds régional qui sert à financer les réformes institutionnelles ».
Le deuxième conseil a concerné l’ensemble des dispositions pour la réforme de la banque. Il s’agit là de sélectionner les candidats pour occuper des postes de ces organes de réforme.
M. Andjembé a conclu en soulignant que si la banque améliore ses services, c’est pour le bien de l’ensemble des Etats membres. « Si elle améliore ses connaissances économiques globales, cela concerne chaque Etat pour connaître le fonctionnement de l’économie de chaque Etat, le comportement de l’inflation ».
« Donc il faut moderniser la banque pour la hisser au niveau des autres banques centrales au standard international », a ajouté le Gouverneur.
Le conseil de Bangui a permis de tenir deux conseils. Le premier qui est extraordinaire fait suite aux décisions du conseil de Paris. Il s’agit de revoir l’article 37 des statuts de la banque qui porte sur la répartition des résultats de la banque dès que les réserves ont été dégagées.
M. Andjembé a précisé que l’un des points importants inscrits au programme est « que la banque centrale puisse participer à l’activité économique de la sous-région », relevant que les ministres et administrateurs avaient souhaité à leurs réunions que « lors des dégagements des bénéfices de la banque, un canton de ces bénéfices soit consacré aux projets intégrateurs de la sous-région, dont 20% vont être consacrés pour financer le fonds régional qui sert à financer les réformes institutionnelles ».
Le deuxième conseil a concerné l’ensemble des dispositions pour la réforme de la banque. Il s’agit là de sélectionner les candidats pour occuper des postes de ces organes de réforme.
M. Andjembé a conclu en soulignant que si la banque améliore ses services, c’est pour le bien de l’ensemble des Etats membres. « Si elle améliore ses connaissances économiques globales, cela concerne chaque Etat pour connaître le fonctionnement de l’économie de chaque Etat, le comportement de l’inflation ».
