POLITIQUE
« Par l’intérêt des débats qui se sont déroulés, le forum a confirmé avec un éclat particulier, l’ampleur des responsabilités qui échoient à nos pays dans la nouvelle donne mondiale », a indiqué M. Barro.
Il a souligné trois axes qui, selon lui, paraissent déterminants pour les prochaines décennies, notamment l’incitation, voire l’accélération de l’assainissement des finances publiques dans le contexte actuellement favorable sur le marché pétrolier et la réalisation du désengagement effectif de l’Etat du secteur productif, le développement des infrastructures.
M. Barro a également mentionné la promotion de productions à forte valeur ajoutée qui doivent être assurées afin de renforcer le commerce intra-communautaire et garantir à terme l’insertion harmonieuse des économies de la sous région dans le commerce mondial et enfin l’ amélioration du climat des affaires et la formation des ressources humaines qui constituent un préalable indispensable à l’arrivée des investisseurs.
Les recommandations formulées à l’issue de ce forum sont relatives au renforcement du cadre macroéconomique, à la consolidation de la compétitivité extérieure, au renforcement de l’intégration et du développement des infrastructures de base, à l’amélioration de la formation, de la recherche et de l’innovation, du renforcement de la gouvernance et du climat des affaires, et enfin, à la mobilisation des ressources financières pour le développement.
Il convient de signaler que le ministre gabonais des Finances à insisté sur le fait que les recommandations formulées qui s’adressent aux six Etats membres et aux institutions de la sous région seront « validées et versées dans le cadre global des réflexions en cours pour l’élaboration de la vision 2015 et du programme économique régional de la Cemac ».
Le forum, qui a démarré le 1er octobre dernier, a réuni les acteurs de la vie économique, en particulier des opérateurs économiques, des représentants du secteur financier, des universitaires, des chercheurs et des représentants de la société civile, en vue de définir une stratégie sous régionale de diversification économique et de promotion de l’investissement non pétrolier dans la Cemac.
Il a souligné trois axes qui, selon lui, paraissent déterminants pour les prochaines décennies, notamment l’incitation, voire l’accélération de l’assainissement des finances publiques dans le contexte actuellement favorable sur le marché pétrolier et la réalisation du désengagement effectif de l’Etat du secteur productif, le développement des infrastructures.
M. Barro a également mentionné la promotion de productions à forte valeur ajoutée qui doivent être assurées afin de renforcer le commerce intra-communautaire et garantir à terme l’insertion harmonieuse des économies de la sous région dans le commerce mondial et enfin l’ amélioration du climat des affaires et la formation des ressources humaines qui constituent un préalable indispensable à l’arrivée des investisseurs.
Les recommandations formulées à l’issue de ce forum sont relatives au renforcement du cadre macroéconomique, à la consolidation de la compétitivité extérieure, au renforcement de l’intégration et du développement des infrastructures de base, à l’amélioration de la formation, de la recherche et de l’innovation, du renforcement de la gouvernance et du climat des affaires, et enfin, à la mobilisation des ressources financières pour le développement.
Il convient de signaler que le ministre gabonais des Finances à insisté sur le fait que les recommandations formulées qui s’adressent aux six Etats membres et aux institutions de la sous région seront « validées et versées dans le cadre global des réflexions en cours pour l’élaboration de la vision 2015 et du programme économique régional de la Cemac ».
Le forum, qui a démarré le 1er octobre dernier, a réuni les acteurs de la vie économique, en particulier des opérateurs économiques, des représentants du secteur financier, des universitaires, des chercheurs et des représentants de la société civile, en vue de définir une stratégie sous régionale de diversification économique et de promotion de l’investissement non pétrolier dans la Cemac.
