POLITIQUE
Mme Bozizé a exhorté les parents d’élèves de Begoua à faire administrer du mébéndazole aux enfants en âge scolaire afin de pallier les problèmes de parasitose en République centrafricaine.
Madame Tanya Chapuisat, la Représentante de l’Unicef, a pour sa part fait savoir que « selon des études sur la santé des enfants, la prévalence et l’intensité des verminoses atteignent un pic chez les enfants de 6 à 15 ans, tranche d’âge qui comprend la majorité des enfants du primaire dans le contexte de la République centrafricaine »
Ces enfants constituent la cible que tous les pays endémiques cherchent à atteindre par le traitement lié d’au moins 75 pour cent d’entre eux en 2010 contre les risques des maladies liées aux vers intestinaux en République Centrafricaine, les écoles n’étant pas toujours très salubres, elles constituent un lieu propice de propagation des maladies transmissibles dont les parasitoses. Intestinales.
Pour la Représentante adjointe du Programme Alimentaire Mondial (PAM), Mme Sita Kaï Kaï, «Le PAM contribue à l’amélioration de l’accès et de la qualité de l’éducation des enfants centrafricains en apportant une assistance alimentaire dans dix (10) écoles primaires sur 1641 environ, avec un effectif de 262 000 élèves sur 584260 ».
« J’ose espérer que cette campagne atteindra tous les objectifs qu’elle s'est assignés et que 600.000 enfants scolarisés seront déparasités au cours des prochains jours », a martelé Mme Sita-Kaï Kaï.
Le ministre de la Santé, M. André Nalké Dorogo, a déclaré que « cette campagne vient renforcer les acquis de la coordination du Programme national de lutte contre les maladies tropicales négligées qui, avec l’appui de l’OMS, a applique déjà la Chimio-thérapie préventive par la distribution du praziquentel aux enfants en âge scolaire dans les localités endémiques de la schistosomiase".
Pour conclure, M. Zakaria Maïga, le Représentant de l’OMS a souligné que la présente campagne permettra de contribuer à la réduction de l’ampleur des Zéohelminthiases ( parasites intestinaux) transmis par voie du sol) qui constituent dans ce pays un véritable problème de santé publique ».
Il convient de rappeler que cette campagne a été organisée par le ministère de la Santé publique, de la Population et de la Lutte contre le Sida, en partenariat avec le PAM, l’Unicef et l'OMS.
Madame Tanya Chapuisat, la Représentante de l’Unicef, a pour sa part fait savoir que « selon des études sur la santé des enfants, la prévalence et l’intensité des verminoses atteignent un pic chez les enfants de 6 à 15 ans, tranche d’âge qui comprend la majorité des enfants du primaire dans le contexte de la République centrafricaine »
Ces enfants constituent la cible que tous les pays endémiques cherchent à atteindre par le traitement lié d’au moins 75 pour cent d’entre eux en 2010 contre les risques des maladies liées aux vers intestinaux en République Centrafricaine, les écoles n’étant pas toujours très salubres, elles constituent un lieu propice de propagation des maladies transmissibles dont les parasitoses. Intestinales.
Pour la Représentante adjointe du Programme Alimentaire Mondial (PAM), Mme Sita Kaï Kaï, «Le PAM contribue à l’amélioration de l’accès et de la qualité de l’éducation des enfants centrafricains en apportant une assistance alimentaire dans dix (10) écoles primaires sur 1641 environ, avec un effectif de 262 000 élèves sur 584260 ».
« J’ose espérer que cette campagne atteindra tous les objectifs qu’elle s'est assignés et que 600.000 enfants scolarisés seront déparasités au cours des prochains jours », a martelé Mme Sita-Kaï Kaï.
Le ministre de la Santé, M. André Nalké Dorogo, a déclaré que « cette campagne vient renforcer les acquis de la coordination du Programme national de lutte contre les maladies tropicales négligées qui, avec l’appui de l’OMS, a applique déjà la Chimio-thérapie préventive par la distribution du praziquentel aux enfants en âge scolaire dans les localités endémiques de la schistosomiase".
Pour conclure, M. Zakaria Maïga, le Représentant de l’OMS a souligné que la présente campagne permettra de contribuer à la réduction de l’ampleur des Zéohelminthiases ( parasites intestinaux) transmis par voie du sol) qui constituent dans ce pays un véritable problème de santé publique ».
Il convient de rappeler que cette campagne a été organisée par le ministère de la Santé publique, de la Population et de la Lutte contre le Sida, en partenariat avec le PAM, l’Unicef et l'OMS.
