Dans cette déclaration, les défenseurs des droits de l’Homme reproche à l’accord de paix conclu avec le chef rebelle Abdoulaye Miskine d’être « parcellaire, dénué de toute de toute sincérité, conclu dans la précipitation, sans consultation préalable des institutions nationales et sous pression de la Libye, excluant la Communauté Economique Monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) [et de contenir] les germes d’un nouveau conflit ».
Pour les auteurs de la déclaration, « les questions de fond touchant à l’intérêt général, aux conditions de vie et aux préoccupations de la population et qui ont alimenté les conflits militaro-politiques savoir, la mal gouvernance, la violation constates massives et répétées des Droits de l’Homme et l’impunité, la pauvreté, la ‘’tribalisation’’ du pouvoir sont totalement éludées ».
C’est pourquoi ils affirment rejeter « l’amnistie pour les crimes les plus graves relevant du droit international humanitaire » et réclamer la création d’un « fonds d’indemnisation des victimes des conflits depuis 2002 ».
La déclaration de ces organisations a été signée par l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture et de la Peine de Mort (Acat-RCA), l’Association des Femmes Juristes de Centrafrique (Afjc), la Ligue Centrafricaine des Droits de l’Homme (Lcdh), le Mouvement pour la Défense des Droits de l’Homme et d’Action humanitaire (Mddh) et l’Observatoire Centrafricain des Droits de l’Homme (Ocdh).
La publication de cette déclaration intervient 10 jours après la signature à Syrte, en Libye, d’un accord de paix entre le gouvernement centrafricain et le Front démocratique du peuple centrafricain (Fdpc) du chef rebelle Abdoulaye Miskine.
Pour les auteurs de la déclaration, « les questions de fond touchant à l’intérêt général, aux conditions de vie et aux préoccupations de la population et qui ont alimenté les conflits militaro-politiques savoir, la mal gouvernance, la violation constates massives et répétées des Droits de l’Homme et l’impunité, la pauvreté, la ‘’tribalisation’’ du pouvoir sont totalement éludées ».
C’est pourquoi ils affirment rejeter « l’amnistie pour les crimes les plus graves relevant du droit international humanitaire » et réclamer la création d’un « fonds d’indemnisation des victimes des conflits depuis 2002 ».
La déclaration de ces organisations a été signée par l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture et de la Peine de Mort (Acat-RCA), l’Association des Femmes Juristes de Centrafrique (Afjc), la Ligue Centrafricaine des Droits de l’Homme (Lcdh), le Mouvement pour la Défense des Droits de l’Homme et d’Action humanitaire (Mddh) et l’Observatoire Centrafricain des Droits de l’Homme (Ocdh).
La publication de cette déclaration intervient 10 jours après la signature à Syrte, en Libye, d’un accord de paix entre le gouvernement centrafricain et le Front démocratique du peuple centrafricain (Fdpc) du chef rebelle Abdoulaye Miskine.