POLITIQUE
Organisé par Bureau International du Travail (BIT), cet atelier a pour objectif de contribuer à la mise à disposition de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM) de formateurs permanents en Normes Internationales de Travail (NIT) et Principes des Droits Fondamentaux de Travail (PDFT), ainsi qu’à l’institutionnalisation de l’enseignement des normes internationales du travail, en particulier des conventions fondamentales de l’ENAM.
Dans son mot introductif M. Jean Claude Gouandjia a déclaré que depuis de nombreuses années, la formation des cadres du corps du travail dans cette prestigieuse institution n’a pu s’effectuer.
Selon lui, le recrutement des inspecteurs et contrôleurs du travail dans la fonction publique s'est opéré à partir de candidats issus de l’enseignement général, sans la formation requise, obligeant ces derniers à professionnaliser au centre Régional Africain d’Administration du travail de Yaoundé, au Cameroun ou dans d’autres institutions comme le centre international de formation de l’Organisation International du Travail à Turin, en Italie.
Il a enfin fait remarquer que pour s’assurer l’engagement des mandats de l’(OIT), le (PAMODEC), se dote dans chaque pays d’une cellule tripartite de suivi (CTS), composée d’un représentant de l’administration, d’un représentant des organisations de travailleurs et des organisations des employeurs, le représentant de l’administration est le président de ladite cellule, tandisque les représentants des employeurs et des travailleurs sont élus par leurs pairs.
M. Michel Bendo Dembi, représentant des travailleurs dans PAMODEC, a pour sa part signifié que depuis 1998, l’OIT a adopté la déclaration relative aux principes et Droits Fondamentaux du Travail qui sont contenues dans huit conventions de l’OIT, considérées comme fondamentales par la communauté internationale.
Pour conclure il a rappelé que la semaine dernière, la première phase de cette formation avait eu lieu dans le but de former les cadres syndicaux. Cette fois ci, l’honneur revient aux décideurs et les formateurs des droits juridictionnels, afin que ceux-ci puissent instruire à leur tour leurs paires.
Dans son mot introductif M. Jean Claude Gouandjia a déclaré que depuis de nombreuses années, la formation des cadres du corps du travail dans cette prestigieuse institution n’a pu s’effectuer.
Selon lui, le recrutement des inspecteurs et contrôleurs du travail dans la fonction publique s'est opéré à partir de candidats issus de l’enseignement général, sans la formation requise, obligeant ces derniers à professionnaliser au centre Régional Africain d’Administration du travail de Yaoundé, au Cameroun ou dans d’autres institutions comme le centre international de formation de l’Organisation International du Travail à Turin, en Italie.
Il a enfin fait remarquer que pour s’assurer l’engagement des mandats de l’(OIT), le (PAMODEC), se dote dans chaque pays d’une cellule tripartite de suivi (CTS), composée d’un représentant de l’administration, d’un représentant des organisations de travailleurs et des organisations des employeurs, le représentant de l’administration est le président de ladite cellule, tandisque les représentants des employeurs et des travailleurs sont élus par leurs pairs.
M. Michel Bendo Dembi, représentant des travailleurs dans PAMODEC, a pour sa part signifié que depuis 1998, l’OIT a adopté la déclaration relative aux principes et Droits Fondamentaux du Travail qui sont contenues dans huit conventions de l’OIT, considérées comme fondamentales par la communauté internationale.
Pour conclure il a rappelé que la semaine dernière, la première phase de cette formation avait eu lieu dans le but de former les cadres syndicaux. Cette fois ci, l’honneur revient aux décideurs et les formateurs des droits juridictionnels, afin que ceux-ci puissent instruire à leur tour leurs paires.
