POLITIQUE
Organisé par l’Association Nationale de Rééducation et de l’Appareillage de Centrafrique (ANRAC), cofinancé par l’Union Européenne et l’ONG Coopi, cet atelier regroupe des participants venus des préfectures de la Lobaye, de la Basse-Kotto, de la Mambéré Kadéï, de l’Ouham, de la Haute Kotto et de la Ouaka en vue de renforcer les capacités du personnel de la Santé dans le domaine de la prévention et la prise en charge médicale des handicapes moteurs.
La formation est axée entre autres sur les conséquences dramatiques des injections de quinine sur les enfants, les tractations brutales sur les membres supérieurs au moment de la naissance ou dans la petite enfance, la punition pied au mur et le manque d’hygiène hospitalière.
La directrice du Centre ANRAC, Mme Julienne Abakar, a souligné que « la sensibilisation de ces personnes est primordiale pour que ces dernières orientent les enfants handicapés le plus rapidement possible vers les structures les plus proches afin d’éviter les séquelles graves d’une affection ».
La ministre Pagonendji Ndakala a pour sa part indiqué qu’« en Afrique subsaharienne, la République Centrafricaine présente l’un des tableaux les plus préoccupants ». C’est à ce titre, a-t-elle justifié, « que nous devons former pour mieux répondre aux besoins des nouveaux enfants ».
« L’enfance en tant que période fragile de l’existence humaine est sérieusement menacée par les fléaux divers tels que la pauvreté, le VIH/Sida, la malnutrition et la discrimination », a –telle conclu.
Notez que la formation prendra fin le 31 janvier prochain.
La formation est axée entre autres sur les conséquences dramatiques des injections de quinine sur les enfants, les tractations brutales sur les membres supérieurs au moment de la naissance ou dans la petite enfance, la punition pied au mur et le manque d’hygiène hospitalière.
La directrice du Centre ANRAC, Mme Julienne Abakar, a souligné que « la sensibilisation de ces personnes est primordiale pour que ces dernières orientent les enfants handicapés le plus rapidement possible vers les structures les plus proches afin d’éviter les séquelles graves d’une affection ».
La ministre Pagonendji Ndakala a pour sa part indiqué qu’« en Afrique subsaharienne, la République Centrafricaine présente l’un des tableaux les plus préoccupants ». C’est à ce titre, a-t-elle justifié, « que nous devons former pour mieux répondre aux besoins des nouveaux enfants ».
« L’enfance en tant que période fragile de l’existence humaine est sérieusement menacée par les fléaux divers tels que la pauvreté, le VIH/Sida, la malnutrition et la discrimination », a –telle conclu.
Notez que la formation prendra fin le 31 janvier prochain.
