POLITIQUE
Initié par le ministère de la Fonction Publique dans le cadre du projet «Appui à la formation par l'apprentissage et l’insertion des jeunes déscolarisés et désoeuvrés dans les zones de conflits comme facteur de consolidation de la paix » et financé par le Programme des Nations Unies pour le Développement(PNUD), cette formation vise la recherche de la citoyenneté responsable qui doit englober des éléments de bonne gouvernance tels que la démocratie et les droits humains fondamentaux.
« La réduction de la pauvreté et la consolidation de la paix ne peuvent s’exprimer que dans la reconstitution des actifs des ménages pauvres en menant des activités de cultures vivrières, d’élevage, de pêche et de culture de rente », a déclaré M. Mackouzangba dans son discours d’ouverture.
« C’est pourquoi a-t-il ajouté, ce projet vise à transformer la jeunesse de ces zones en levier de développement des potentialités locales et de la promotion de l’emploi à travers les activités génératrices de revenus, et en vecteur de la promotion et de la consolidation de la paix ».
Pour le coordonnateur, M. Pierre Djibaou, les préfectures de l’Ouham, de l’Ouham-Pendé et de la Nana Gribizi constituait le foyer de l’économie agropastorale le plus dynamique du pays.
Selon lui, les conflits armés et l’insécurité ont rendu précaires les conditions de vie des jeunes, filles et garçons confondus. Fuyant les villages et villes, car désoeuvrés et privés des possibilités d’accès à un métier et emploi durable les jeunes sont facilement enrôlés dans la rébellion armée, intègrent les groupes des braqueurs constituant ainsi des vecteurs de violence et mettant en péril la vie de leurs communautés.
« Ce programme est le votre car c’est vous, la jeunesse, qui êtes détenteurs du secret de la paix et de la sécurité. Vous pouvez en faire usage à tout moment », a lancé M. Douzima dans son alloicution.
Il convient de rappeler que cet atelier qui regroupe 23 jeunes leaders prendra fin le 11 septembre 2009.
« La réduction de la pauvreté et la consolidation de la paix ne peuvent s’exprimer que dans la reconstitution des actifs des ménages pauvres en menant des activités de cultures vivrières, d’élevage, de pêche et de culture de rente », a déclaré M. Mackouzangba dans son discours d’ouverture.
« C’est pourquoi a-t-il ajouté, ce projet vise à transformer la jeunesse de ces zones en levier de développement des potentialités locales et de la promotion de l’emploi à travers les activités génératrices de revenus, et en vecteur de la promotion et de la consolidation de la paix ».
Pour le coordonnateur, M. Pierre Djibaou, les préfectures de l’Ouham, de l’Ouham-Pendé et de la Nana Gribizi constituait le foyer de l’économie agropastorale le plus dynamique du pays.
Selon lui, les conflits armés et l’insécurité ont rendu précaires les conditions de vie des jeunes, filles et garçons confondus. Fuyant les villages et villes, car désoeuvrés et privés des possibilités d’accès à un métier et emploi durable les jeunes sont facilement enrôlés dans la rébellion armée, intègrent les groupes des braqueurs constituant ainsi des vecteurs de violence et mettant en péril la vie de leurs communautés.
« Ce programme est le votre car c’est vous, la jeunesse, qui êtes détenteurs du secret de la paix et de la sécurité. Vous pouvez en faire usage à tout moment », a lancé M. Douzima dans son alloicution.
Il convient de rappeler que cet atelier qui regroupe 23 jeunes leaders prendra fin le 11 septembre 2009.
