«Ce moment difficile interpelle les décideurs pour penser à la relève », a déclaré dans son témoignage, M. Robert Beyom, maître assistant en linguistique et collègue du disparu, prévenant que « la direction des mémoires va poser problème, puisque tous ceux qui s’occupaient de cela ne sont plus de ce monde.
« M. Jean Daloba fut un homme simple, comme un villageois, subtil comme un professeur d’université, jovial, bruyant, sympathique, mais ouvert, il aimait ses étudiants, ses collègues et son travail », a relevé, dans l’oraison funèbre, le Secrétaire Général de l’Université, M. Noël Ngoulo, qui a donné lecture des lettres de condoléances des professeurs des grandes universités internationales dont celui du Québec, lieu du dernier séjour académique du défunt.
Décédé deux jours après son retour à Bangui, après un séjour académique à Québec, au Canada, grâce à une bourse de l’Agence Universitaire de la Francophonie, Jean Daloba laisse derrière lui une veuve et 6 enfants.
Transférée vendredi à son village natal de Lakandja, près de Grimari (308 km à l’est de Bangui), sa dépouille mortelle devrait retourner à la terre, samedi 6 septembre 2008.
« M. Jean Daloba fut un homme simple, comme un villageois, subtil comme un professeur d’université, jovial, bruyant, sympathique, mais ouvert, il aimait ses étudiants, ses collègues et son travail », a relevé, dans l’oraison funèbre, le Secrétaire Général de l’Université, M. Noël Ngoulo, qui a donné lecture des lettres de condoléances des professeurs des grandes universités internationales dont celui du Québec, lieu du dernier séjour académique du défunt.
Décédé deux jours après son retour à Bangui, après un séjour académique à Québec, au Canada, grâce à une bourse de l’Agence Universitaire de la Francophonie, Jean Daloba laisse derrière lui une veuve et 6 enfants.
Transférée vendredi à son village natal de Lakandja, près de Grimari (308 km à l’est de Bangui), sa dépouille mortelle devrait retourner à la terre, samedi 6 septembre 2008.