POLITIQUE
Le président élu a reçu 73% des voix sur 130 votants, les candidats à la présidence étant au nombre de deux.
Il est appelé à diriger un bureau de douze membres. Le mandat ce de bureau consiste à défendre les intérêts de la jeunesse auprès des autorités du pays et lutter pour l’émergence des jeunes.
Après son élection, M. Christian Guénébèm a déclaré que sa priorité est de faire l’état des lieux de la situation de la jeunesse centrafricaine, pour mieux conduire ses destinées.
« La mission qui nous attend est celle de faire une évaluation sur le terrain, zone par zone, préfecture par préfecture, secteur par secteur pour savoir là où nous devons mettre les pieds, là où on doit mener des actions et là où on ne doit pas se tromper », a-t-il déclaré.
Selon M. Christian Guenebem, son statut de président de la jeunesse du parti travailliste KNK du Président François Bozizé, ne saurait influencer négativement ses actions en tant que président national de la jeunesse.
« Je crois que le Président de la République est le président fondateur du KNK, mais il est Président de la République, au-dessus des partis politiques, au-dessus de la mêlée. Je peux être président de la jeunesse du parti KNK, mais en tant que président national de la jeunesse, au titre du CNJ, je suis au-dessus de la mêlée et j’ai cette obligation d’œuvrer dans le sens de l’intérêt de tous les jeunes centrafricains, sans aucune distinction », a-t-il rassuré.
Cette élection s’est déroulée après deux jours de travaux, dont l’ouverture a été présidée lundi 25 janvier par le Chef de l’Etat François Bozizé.
Dans son discours d'ouverture, le Président François Bozizé a fait remarquer, la mise en place du Bureau exécutif du Conseil national de la jeunesse repésentait "une prise de conscience profonde" des jeunes, du rôle qu'il sont appelés à jouer dans le processus de développement de la République centrafricaine.
"A un moment où notre pays tente de sortir sa tête de l’eau, les jeunes doivent êtres les chevilles ouvrières de notre système de production. A la lumière des données disponibles sur la jeunesse, je conviens avec vous que l’école à elle seule ne suffit pas pour assurer l’éducation complète et totale des jeunes qui sont des responsables à part entière pour le fonctionnement de notre société », a-t-il souligné.
Selon François Bozizé, "Il nous faut maintenant être très imaginatifs pour pouvoir développer des actions concrètes qui puissent véritablement toucher les jeunes et bouleverser les tendances négatives qui peuvent compromettre leurs existence "..
Pour lui, le Conseil national de la jeunesse devrait constituer "un cadre de dialogue national" qui permette aux jeunes de proposer des actions qui engagent leur épanouissement et leur intégration dans la vie économique et sociale du pays.
Les travaux se sont achevés mercredi 27 janvier 2010 à Bangui.
Il est appelé à diriger un bureau de douze membres. Le mandat ce de bureau consiste à défendre les intérêts de la jeunesse auprès des autorités du pays et lutter pour l’émergence des jeunes.
Après son élection, M. Christian Guénébèm a déclaré que sa priorité est de faire l’état des lieux de la situation de la jeunesse centrafricaine, pour mieux conduire ses destinées.
« La mission qui nous attend est celle de faire une évaluation sur le terrain, zone par zone, préfecture par préfecture, secteur par secteur pour savoir là où nous devons mettre les pieds, là où on doit mener des actions et là où on ne doit pas se tromper », a-t-il déclaré.
Selon M. Christian Guenebem, son statut de président de la jeunesse du parti travailliste KNK du Président François Bozizé, ne saurait influencer négativement ses actions en tant que président national de la jeunesse.
« Je crois que le Président de la République est le président fondateur du KNK, mais il est Président de la République, au-dessus des partis politiques, au-dessus de la mêlée. Je peux être président de la jeunesse du parti KNK, mais en tant que président national de la jeunesse, au titre du CNJ, je suis au-dessus de la mêlée et j’ai cette obligation d’œuvrer dans le sens de l’intérêt de tous les jeunes centrafricains, sans aucune distinction », a-t-il rassuré.
Cette élection s’est déroulée après deux jours de travaux, dont l’ouverture a été présidée lundi 25 janvier par le Chef de l’Etat François Bozizé.
Dans son discours d'ouverture, le Président François Bozizé a fait remarquer, la mise en place du Bureau exécutif du Conseil national de la jeunesse repésentait "une prise de conscience profonde" des jeunes, du rôle qu'il sont appelés à jouer dans le processus de développement de la République centrafricaine.
"A un moment où notre pays tente de sortir sa tête de l’eau, les jeunes doivent êtres les chevilles ouvrières de notre système de production. A la lumière des données disponibles sur la jeunesse, je conviens avec vous que l’école à elle seule ne suffit pas pour assurer l’éducation complète et totale des jeunes qui sont des responsables à part entière pour le fonctionnement de notre société », a-t-il souligné.
Selon François Bozizé, "Il nous faut maintenant être très imaginatifs pour pouvoir développer des actions concrètes qui puissent véritablement toucher les jeunes et bouleverser les tendances négatives qui peuvent compromettre leurs existence "..
Pour lui, le Conseil national de la jeunesse devrait constituer "un cadre de dialogue national" qui permette aux jeunes de proposer des actions qui engagent leur épanouissement et leur intégration dans la vie économique et sociale du pays.
Les travaux se sont achevés mercredi 27 janvier 2010 à Bangui.
