POLITIQUE
Ces communications sont respectivement présentées par Messieurs, Tchakpa Mbrède, Journaliste, Inspecteur central au ministère de la Communication, Firmin Ngredaba, Inspecteur du travail et des lois sociale, Raphaël Kopessoua, journaliste, Administrateur de presse, Jean Paul Sankagui, Administrateur de Presse, membre du Haut Conseil de la Communication et Victor Komomakoa, Juriste.
Avant ces différentes communications, l’expert international du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), invité pour la circonstance, M. Sébastien Agbota a rappelé les objectifs principaux de ces états généraux qui sont entre autres de définir un statut clair et précis pour l’entreprise de presse en Centrafrique, préciser le mécanisme de financement du service public de l’information et déterminer les mécanismes d’institution et de gestion et d’un fonds d’aide à la presse privée.
Il a également relevé que ces PEGMC viseront à définir les conditions d’une gestion participative qui devra aboutir à terme à une autonomie financière de la Maison de la Presse dont la création en 2006 s’est réalisée grâce à l’appui de l’UNESCO et de jeter les bases pour l’élaboration d’une charte des associations professionnelles dans le sens d’une unification des nombreuses associations actuellement existantes en RCA.
La question de délivrance de la Carte d’identité des professionnels des médias et engager des discussions avec les autorités compétentes sur le mécanisme d’accès aux sources d’information, établir les mécanismes pour le renforcement de l’éthique et de la déontologie dans les médias à travers un plan de formation des journalistes en vue de l’amélioration qualitativement et quantitativement des conditions de vie et de travail des professionnels des médias sont également à l’ordre du jour de ces assises.
Rappelant quelques périodes sombres de l’histoire des journalistes centrafricains, M. Tchaka Mbrède a déclaré que « comme par tout ailleurs la relation entre les pouvoirs et les médias est une relation d’antagonisme irréductible», précisant que « cet antagonisme est dû à la nécessité de chacun d’atteindre son objectif ».
« Enfin, les médias, tant de service public que du secteur privé, non seulement n’atteignent pas l’ensemble des populations, mais et surtout n’instaurent pas un forum sur le débat citoyen en ouvrant leurs colonnes et leurs antennes à tous les différents segments de la communauté nationale », déclarant que ces médias « ne favorisent pas l’enracinement de la démocratie et de la promotion des Droits de l’Homme dans la société » a-t-il conclu M. Tchakpa.
Signalons que les Premiers Etats Généraux des Médias Centrafricains sont organisés par le ministère de la Communication, de la Réconciliation Nationale, de la Culture Démocratique et de la Promotion des Droits de l’Homme avec le concours technique et financier du Pnud, de l’Unesco, l’OIF et du Bureau de l’Organisation de Nations Unies Centrafrique (Bonuca).
Avant ces différentes communications, l’expert international du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), invité pour la circonstance, M. Sébastien Agbota a rappelé les objectifs principaux de ces états généraux qui sont entre autres de définir un statut clair et précis pour l’entreprise de presse en Centrafrique, préciser le mécanisme de financement du service public de l’information et déterminer les mécanismes d’institution et de gestion et d’un fonds d’aide à la presse privée.
Il a également relevé que ces PEGMC viseront à définir les conditions d’une gestion participative qui devra aboutir à terme à une autonomie financière de la Maison de la Presse dont la création en 2006 s’est réalisée grâce à l’appui de l’UNESCO et de jeter les bases pour l’élaboration d’une charte des associations professionnelles dans le sens d’une unification des nombreuses associations actuellement existantes en RCA.
La question de délivrance de la Carte d’identité des professionnels des médias et engager des discussions avec les autorités compétentes sur le mécanisme d’accès aux sources d’information, établir les mécanismes pour le renforcement de l’éthique et de la déontologie dans les médias à travers un plan de formation des journalistes en vue de l’amélioration qualitativement et quantitativement des conditions de vie et de travail des professionnels des médias sont également à l’ordre du jour de ces assises.
Rappelant quelques périodes sombres de l’histoire des journalistes centrafricains, M. Tchaka Mbrède a déclaré que « comme par tout ailleurs la relation entre les pouvoirs et les médias est une relation d’antagonisme irréductible», précisant que « cet antagonisme est dû à la nécessité de chacun d’atteindre son objectif ».
« Enfin, les médias, tant de service public que du secteur privé, non seulement n’atteignent pas l’ensemble des populations, mais et surtout n’instaurent pas un forum sur le débat citoyen en ouvrant leurs colonnes et leurs antennes à tous les différents segments de la communauté nationale », déclarant que ces médias « ne favorisent pas l’enracinement de la démocratie et de la promotion des Droits de l’Homme dans la société » a-t-il conclu M. Tchakpa.
Signalons que les Premiers Etats Généraux des Médias Centrafricains sont organisés par le ministère de la Communication, de la Réconciliation Nationale, de la Culture Démocratique et de la Promotion des Droits de l’Homme avec le concours technique et financier du Pnud, de l’Unesco, l’OIF et du Bureau de l’Organisation de Nations Unies Centrafrique (Bonuca).
