POLITIQUE
Il ressort de cette réunion que les exploitants et conducteurs de taxis motos de Bossangoa exercent au mépris des textes réglementant la circulation, ceci en dépit de multiples réunions de sensibilisation tenues à cet effet.
Les questions de l’excès de vitesse, du port de casques et du permis de conduire ont été longuement débattues.
Profitant de l’occasion, le responsable des régies financières de la ville a évoqué l’absence de collaboration de la part des contribuables, ce qui crée un manque à gagner pour la caisse de l’Etat.
Pour leur part, les exploitants de taxis motos ont expliqué que la situation financière du pays ne leur permet pas de payer les taxes douanières dans les délais requis.
Pour réparer ce désagrément, le préfet de l’Ouham leur a accordé un délai de trois mois au maximum pour se mettre en règle sous peine de répression.
Le colonel Baïpo a également demandé aux responsables de la police et de la gendarmerie de prendre leurs responsabilités en vue de réglementer la circulation des taxis motos au centre-ville.
Les questions de l’excès de vitesse, du port de casques et du permis de conduire ont été longuement débattues.
Profitant de l’occasion, le responsable des régies financières de la ville a évoqué l’absence de collaboration de la part des contribuables, ce qui crée un manque à gagner pour la caisse de l’Etat.
Pour leur part, les exploitants de taxis motos ont expliqué que la situation financière du pays ne leur permet pas de payer les taxes douanières dans les délais requis.
Pour réparer ce désagrément, le préfet de l’Ouham leur a accordé un délai de trois mois au maximum pour se mettre en règle sous peine de répression.
Le colonel Baïpo a également demandé aux responsables de la police et de la gendarmerie de prendre leurs responsabilités en vue de réglementer la circulation des taxis motos au centre-ville.
