POLITIQUE
Elles se sont engagées à s’unir afin de barrer la route aux pratiques néfastes faites aux femmes, à savoir l’excision, la non scolarisation, le lévirat, la violence sexuelle et les viols.
Interrogée par l’ACAP, Mme Julie Ewango Ndouwa, journaliste à la radio nationale, a indiqué que l’émission publique organisée par les femmes communicatrices permettra de sensibiliser les femmes sur leurs droits qui ont toujours été bafoués par les bourreaux de ce pays.
Elle a par ailleurs fait savoir que les lois concernant les droits et la protection de la femme pourtant votées par l’Assemblée nationale et promulguées par le Président de la République, ne sont malheureusement pas appliquées pour permettre d’améliorer la condition des femmes de Centrafrique.
« Je dirais que la femme ne peut toujours pas être dépendante de l’homme elle doit s’afficher en créant des petites activités de revenues afin de pourvoir a ces besoins », a-t-elle déclaré pour justifier l’importance du thème retenu pour la journée du 8 mars 2009.
Pour Maitre Sylvie Naisseme, membre de l’association des femmes juristes de Centrafrique (AFJC), les femmes et les jeunes filles de Centrafrique sont appelées à s’approprier le désir de voir leurs conditions de vie et d’études s’améliorer pour le développement de notre pays.
L’artiste comédien, conteur et metteur en scène, M. Joseph Boniface Watanga, a quant à lui déploré le fait que l’excision continue d’être pratiquée dans en République Centrafricaine, malgré les dispositions prises par le code de la famille, et en a appelé à une prise de conscience des population au profits des femmes du pays.
Il convient de rappeler que dans le cadre des manifestations relatives à la journée internationale de la femme 2009, des foires expositions ont été organisées par les chrétiennes catholiques en collaboration avec le ministère des Affaires sociales.
Des émissions publiques ainsi que des conférences débats sur les droits de la femmes et la culture de la paix ont été organisées par l’Association des femmes Professionnelles de la communication (AFPC) et l’Organisation des femmes de Centrafrique ( l’OFCA ).
En guise de rappel, la journée internationale de la femme a été instituée par les Nations Unies en 1977 dans l’optique de la protection et de la promotion des droits de la femme dans le monde.
Interrogée par l’ACAP, Mme Julie Ewango Ndouwa, journaliste à la radio nationale, a indiqué que l’émission publique organisée par les femmes communicatrices permettra de sensibiliser les femmes sur leurs droits qui ont toujours été bafoués par les bourreaux de ce pays.
Elle a par ailleurs fait savoir que les lois concernant les droits et la protection de la femme pourtant votées par l’Assemblée nationale et promulguées par le Président de la République, ne sont malheureusement pas appliquées pour permettre d’améliorer la condition des femmes de Centrafrique.
« Je dirais que la femme ne peut toujours pas être dépendante de l’homme elle doit s’afficher en créant des petites activités de revenues afin de pourvoir a ces besoins », a-t-elle déclaré pour justifier l’importance du thème retenu pour la journée du 8 mars 2009.
Pour Maitre Sylvie Naisseme, membre de l’association des femmes juristes de Centrafrique (AFJC), les femmes et les jeunes filles de Centrafrique sont appelées à s’approprier le désir de voir leurs conditions de vie et d’études s’améliorer pour le développement de notre pays.
L’artiste comédien, conteur et metteur en scène, M. Joseph Boniface Watanga, a quant à lui déploré le fait que l’excision continue d’être pratiquée dans en République Centrafricaine, malgré les dispositions prises par le code de la famille, et en a appelé à une prise de conscience des population au profits des femmes du pays.
Il convient de rappeler que dans le cadre des manifestations relatives à la journée internationale de la femme 2009, des foires expositions ont été organisées par les chrétiennes catholiques en collaboration avec le ministère des Affaires sociales.
Des émissions publiques ainsi que des conférences débats sur les droits de la femmes et la culture de la paix ont été organisées par l’Association des femmes Professionnelles de la communication (AFPC) et l’Organisation des femmes de Centrafrique ( l’OFCA ).
En guise de rappel, la journée internationale de la femme a été instituée par les Nations Unies en 1977 dans l’optique de la protection et de la promotion des droits de la femme dans le monde.
