POLITIQUE
Vue des participants à l'atelier, Photo-ACAP/Rébéné
Organisé par le ministère de l'Education nationale sur financement de l'Unesco, cet atelier vise à renforcer les capacités techniques et professionnelles des enseigants intervenant dans les différents CPR dans la formation accélrée des instituteurs.
"L’enjeu de cet atelier est de redynamiser le système éducatif en République Centrafricaine et de compléter les efforts déjà entrepris par le gouvernement pour doter le pays en document de stratégie sectorielle de l’éducation", a indiqué M. Wenezoui en ouvrant les travaux.
Pour lui, "cette redynamisation n’est possible que par l’amélioration de la qualité de l’éducation dans le fondamental 1. Etant entendu que la formation initiale et continue des maîtres, lesquels reconnus pour leur importance dans les stratégies nationales, demeure l’instrument indispensable pour une école de qualité".
Il s'est félicité de l’initiative de l’Unesco pour la formation des enseignants en Afrique. Initiative qui pour lui est une réponse aux principaux défis éducatifs qui se posent aux Etats de l’Afrique subsaharienne en général et à la République Centrafricaine en particulier.
"La République Centrafricaine dont la moyenne en terme de ratio enseignant qualifié est de plus de 80 élèves pour un enseignant dans le fondamental 1 et 102 élèves pour un enseignant au fondamental 2 et secondaire général par rapport à la norme qui est de 60 élèves pour un enseignant, n’échappe pas à cette pénurie d’enseignant", a ajouté M. Wénézoui.
Trois jours durant, les participants venus des différents CPR seront entretenus sur les connaissances institutionnelles, la qualité des enseignants, l’augmentation du nombre des enseignants et l’introduction de nouveaux programmes scolaires qui reflètent les valeurs de la République Centrafricaine.
"L’enjeu de cet atelier est de redynamiser le système éducatif en République Centrafricaine et de compléter les efforts déjà entrepris par le gouvernement pour doter le pays en document de stratégie sectorielle de l’éducation", a indiqué M. Wenezoui en ouvrant les travaux.
Pour lui, "cette redynamisation n’est possible que par l’amélioration de la qualité de l’éducation dans le fondamental 1. Etant entendu que la formation initiale et continue des maîtres, lesquels reconnus pour leur importance dans les stratégies nationales, demeure l’instrument indispensable pour une école de qualité".
Il s'est félicité de l’initiative de l’Unesco pour la formation des enseignants en Afrique. Initiative qui pour lui est une réponse aux principaux défis éducatifs qui se posent aux Etats de l’Afrique subsaharienne en général et à la République Centrafricaine en particulier.
"La République Centrafricaine dont la moyenne en terme de ratio enseignant qualifié est de plus de 80 élèves pour un enseignant dans le fondamental 1 et 102 élèves pour un enseignant au fondamental 2 et secondaire général par rapport à la norme qui est de 60 élèves pour un enseignant, n’échappe pas à cette pénurie d’enseignant", a ajouté M. Wénézoui.
Trois jours durant, les participants venus des différents CPR seront entretenus sur les connaissances institutionnelles, la qualité des enseignants, l’augmentation du nombre des enseignants et l’introduction de nouveaux programmes scolaires qui reflètent les valeurs de la République Centrafricaine.
