POLITIQUE
Selon l’Abbé Mokopamé, cette formation vise non seulement à rendre les participants capables de mener des activités de communication sur la vie , l’amour, mais également à « accompagner les jeunes vers la maturité psychoaffective et spirituelle qui rendra possible la prise des décisions réfléchies en matière de reproduction et de contribuer à la formation d’autres éducateurs parents ou encadreurs des jeunes ».
Car, a-t-il rappelé, le CENFAS a pour objectif général de renforcer la capacité de l’Eglise face au Vih/Sida par sa vocation d’aider, d’assister et d’accompagner toutes les personnes vers la guérison physique et spirituelle, en vue de contribuer à la réduction du taux de prévalence.
« En domaine préventif, trop souvent nous donnons l’impression de croire qu’il suffit de donner aux jeunes des informations générales sur le Vih /sida. (…) C’est une éducation à la sexualité au sens large, pour les adultes aussi bien que pour les jeunes. D’où la création du programme d’Education à la vie et l’amour (EVA) par l’évêque de Centrafrique en 2002 dans les églises, les écoles, les foyers et le milieu jeunes », a précisé l’Abbé Mokopamé.
Selon lui, l’originalité de ce programme est qu’il s’inspire de la vision chrétienne de la sexualité qui prend en compte l’homme dans son intégrité physique, affective, morale, psychologique, sociale et spirituelle.
Il convient de signaler que cette formation qui regroupe plus d’une quarantaine de participants prendra fin le vendredi prochain.
Signalons que le CENFAS est un Comité multisectoriel composé d’une dizaine commissions diocésaines qui contribuent aux cotés du gouvernement et des partenaires à la reduction de la prévalence du Vih/sida.
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Car, a-t-il rappelé, le CENFAS a pour objectif général de renforcer la capacité de l’Eglise face au Vih/Sida par sa vocation d’aider, d’assister et d’accompagner toutes les personnes vers la guérison physique et spirituelle, en vue de contribuer à la réduction du taux de prévalence.
« En domaine préventif, trop souvent nous donnons l’impression de croire qu’il suffit de donner aux jeunes des informations générales sur le Vih /sida. (…) C’est une éducation à la sexualité au sens large, pour les adultes aussi bien que pour les jeunes. D’où la création du programme d’Education à la vie et l’amour (EVA) par l’évêque de Centrafrique en 2002 dans les églises, les écoles, les foyers et le milieu jeunes », a précisé l’Abbé Mokopamé.
Selon lui, l’originalité de ce programme est qu’il s’inspire de la vision chrétienne de la sexualité qui prend en compte l’homme dans son intégrité physique, affective, morale, psychologique, sociale et spirituelle.
Il convient de signaler que cette formation qui regroupe plus d’une quarantaine de participants prendra fin le vendredi prochain.
Signalons que le CENFAS est un Comité multisectoriel composé d’une dizaine commissions diocésaines qui contribuent aux cotés du gouvernement et des partenaires à la reduction de la prévalence du Vih/sida.
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