POLITIQUE
« Il y a dix ans, en raison non seulement de sa réémergence dans le monde, en particulier dans les pays sous-développés, mais aussi en raison de son association avec le Vih/sida, l’OMS classait la tuberculose comme une urgence mondiale », a déclaré le docteur Maïga avant de précisé que le partenariat « Halte à la tuberculose » mis en place plus tard devait, en tant que stratégie de lutte, permettre d’atteindre les objectifs de la lutte contre ce fléau à l’horizon 2015.
Selon lui, la principale arme recommandée par l’OMS est la formation au traitement de courte durée sous observance directe ou DOTS, la formation et le recyclage de techniciens de laboratoire, la supervision et le monitorage des activités à tous les niveaux de la pyramide sanitaire le soutien financier .
Pour lui la stratégie DOTS permet de « guérir des malades, de sauver des vies, d’empêcher la propagation de la pharmaco résistance et la recrudescence de la maladie » ajoutant que cette stratégie est renforcée par la décentralisation et l’action communautaire.
« La co-infection TB/Vih , la tuberculose multi résistante et la gestion de la tuberculose dans les couches vulnérables constituent les nouveaux défis liés à la lutte contre cette maladie », a-t-il indiqué.
Selon le Docteur Maïga, les opportunités offertes par le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, permettent de renforcer les activités de la lutte antituberculeuse à travers le renforcement du plateau du laboratoire de référence , la prise en charge des tuberculoses à bacille multi résistant.
« En plus des effort actuels pour prévenir, dépister et guérir la tuberculose, de nouveaux outils sont nécessaires pour transformer radicalement la lutte contre la tuberculose et contenir la menace des souches mortelles des bacilles multi résistant qui résistent à la plupart des médicaments dont nous disposons contre la tuberculose », a-t-il conclu.
Selon lui, la principale arme recommandée par l’OMS est la formation au traitement de courte durée sous observance directe ou DOTS, la formation et le recyclage de techniciens de laboratoire, la supervision et le monitorage des activités à tous les niveaux de la pyramide sanitaire le soutien financier .
Pour lui la stratégie DOTS permet de « guérir des malades, de sauver des vies, d’empêcher la propagation de la pharmaco résistance et la recrudescence de la maladie » ajoutant que cette stratégie est renforcée par la décentralisation et l’action communautaire.
« La co-infection TB/Vih , la tuberculose multi résistante et la gestion de la tuberculose dans les couches vulnérables constituent les nouveaux défis liés à la lutte contre cette maladie », a-t-il indiqué.
Selon le Docteur Maïga, les opportunités offertes par le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, permettent de renforcer les activités de la lutte antituberculeuse à travers le renforcement du plateau du laboratoire de référence , la prise en charge des tuberculoses à bacille multi résistant.
« En plus des effort actuels pour prévenir, dépister et guérir la tuberculose, de nouveaux outils sont nécessaires pour transformer radicalement la lutte contre la tuberculose et contenir la menace des souches mortelles des bacilles multi résistant qui résistent à la plupart des médicaments dont nous disposons contre la tuberculose », a-t-il conclu.
