POLITIQUE
Ce constat a été fait au cours d'une conférence de presse àù elle faisait le bilan d'une visite de travail en Centrafrique, notamment dans les zones de conflits.
« Les conditions de vie sont totalement déplorables : pas d’abris, pas assez de vivres, pas d’eau potable et de services médicaux. Les parents sont soucieux à cause de leurs enfants qui ont faim et qui sont malades », a déclaré Mme Catherine Bragg.
« Leurs structures de bases sont détruites, voire inexistantes ; de plus, il y a une quasi absence de postes de police et du personnel judiciaire, laissant la place à la culture de l’impunité et de la violation des droits de la population », a-t-elle renchéri.
Elle a également souligné l'incapacité des organisations humanitaires à atteindre certaines populations vulnérables, pour connaître leurs besoins à cause des problèmes de sécurité, du mauvais état des routes.
Par ailleurs, a-t-elle souligné, « les organisations humanitaires font toujours fasse à un déficit de financement qui risque de compromettre la vie de centaines milliers de personnes, si aucune solution n’est trouvée à ce problème », a conclu Mme Catherine Bragg.
« Les conditions de vie sont totalement déplorables : pas d’abris, pas assez de vivres, pas d’eau potable et de services médicaux. Les parents sont soucieux à cause de leurs enfants qui ont faim et qui sont malades », a déclaré Mme Catherine Bragg.
« Leurs structures de bases sont détruites, voire inexistantes ; de plus, il y a une quasi absence de postes de police et du personnel judiciaire, laissant la place à la culture de l’impunité et de la violation des droits de la population », a-t-elle renchéri.
Elle a également souligné l'incapacité des organisations humanitaires à atteindre certaines populations vulnérables, pour connaître leurs besoins à cause des problèmes de sécurité, du mauvais état des routes.
Par ailleurs, a-t-elle souligné, « les organisations humanitaires font toujours fasse à un déficit de financement qui risque de compromettre la vie de centaines milliers de personnes, si aucune solution n’est trouvée à ce problème », a conclu Mme Catherine Bragg.
