POLITIQUE
Le president Bozize a l'ouverture du 1er congres de son parti kwa na kwa (ph. YAKA MAIDE)
Devant quelque 600 délégués venus de tout le pays ainsi que d’Europe et d’Afrique, François Bozizé a souligné que la philosophie de Kwa Na Kwa « s’opposera è toute tentative de division, à toute forme de démagogie et à toute tentative de retour aux expériences pernicieuses malheureuses du passé qui ont porté atteinte à l’unité de notre peuple ».
« Nous sommes réunis à M’baïki qui a vu naître les illustres fils du pays. En leur mémoire, nous rendrons toujours un vibrant hommage », a-t-il également affirmé, invitant ses compagnons du KNK à s’ouvrir et à « coopérer avec les autres partis qui le veulent ».
Il a également souhaité que les structures de base de son parti soient consolidées et leur fonctionnement rationalisé « afin de permettre une forte implantation territoriale ».
Le premier congrès du KNK intervient 2 mois après l’assemblée générale constitutive, tenue les 20 et 21 août à Boali, et au terme de laquelle le président Bozizé avait mis en place un bureau politique provisoire restreint comprenant 30 membres et disposant de 60 jours pour organiser le congrès.
Interrompus à 12h 45 locales, les travaux devaient reprendre à 14h 30 pour s’achever à 17h par une allocution du président Bozizé.
« Nous sommes réunis à M’baïki qui a vu naître les illustres fils du pays. En leur mémoire, nous rendrons toujours un vibrant hommage », a-t-il également affirmé, invitant ses compagnons du KNK à s’ouvrir et à « coopérer avec les autres partis qui le veulent ».
Il a également souhaité que les structures de base de son parti soient consolidées et leur fonctionnement rationalisé « afin de permettre une forte implantation territoriale ».
Le premier congrès du KNK intervient 2 mois après l’assemblée générale constitutive, tenue les 20 et 21 août à Boali, et au terme de laquelle le président Bozizé avait mis en place un bureau politique provisoire restreint comprenant 30 membres et disposant de 60 jours pour organiser le congrès.
Interrompus à 12h 45 locales, les travaux devaient reprendre à 14h 30 pour s’achever à 17h par une allocution du président Bozizé.
