
Le forum initié par le Ministère de la Fonction publique avait pour but de faire le diagnostic de l’emploi, de la formation professionnelle et de la protection sociale et y proposer des solutions appropriées pour la formulation prochaine d’une politique axée sur le travail décent.
Il ressort de l’examen de la situation que depuis l’indépendance du pays le 13 août 1960, les secteurs de l’emploi, la formation professionnelle et la protection sociale ont souffert de l’absence d’une politique cohérente. C’est pourquoi, le Président de l’Assemblée Nationale, Célestin Leroy Gaombalet, a évoqué « le chômage, le sous-emploi chronique, la dégradation du système de formation professionnelle, l’absence d’un filet de protection sociale » comme étant des entorses dont il est souhaitable désormais d’inverser la tendance.
Quatre secteurs ont été identifiés comme pouvant provoquer d’importantes opportunités d’emplois. Il s’agit des secteurs agricole, minier, forestier et infrastructurel.
En réponse à ces préoccupations, les recommandations fortes du forum ont concerné la formation professionnelle et l’encadrement des producteurs ; la modernisation des unités de production existantes ; la promotion des travaux à haute intensité de main d’œuvre, l’encouragement de l’auto-emploi et l’entreprenariat féminin et surtout la « centrafricanisation » de l’emploi, privilégiant de façon équitable les handicapés, les minorités ethniques, les ex-combattants et les personnes infectées ou affectées par le VIH/sida.
Pour ce qui est de la protection social, l’accent a été mis sur les réformes du Conseil National de la Sécurité Sociale.
Le forum national sur l’emploi, la formation professionnelle et la protection sociale a bénéficié du concours du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), du Bureau International du Travail (BIT), des experts venus du Maroc, du Sénégal et du Cameroun.
Il ressort de l’examen de la situation que depuis l’indépendance du pays le 13 août 1960, les secteurs de l’emploi, la formation professionnelle et la protection sociale ont souffert de l’absence d’une politique cohérente. C’est pourquoi, le Président de l’Assemblée Nationale, Célestin Leroy Gaombalet, a évoqué « le chômage, le sous-emploi chronique, la dégradation du système de formation professionnelle, l’absence d’un filet de protection sociale » comme étant des entorses dont il est souhaitable désormais d’inverser la tendance.
Quatre secteurs ont été identifiés comme pouvant provoquer d’importantes opportunités d’emplois. Il s’agit des secteurs agricole, minier, forestier et infrastructurel.
En réponse à ces préoccupations, les recommandations fortes du forum ont concerné la formation professionnelle et l’encadrement des producteurs ; la modernisation des unités de production existantes ; la promotion des travaux à haute intensité de main d’œuvre, l’encouragement de l’auto-emploi et l’entreprenariat féminin et surtout la « centrafricanisation » de l’emploi, privilégiant de façon équitable les handicapés, les minorités ethniques, les ex-combattants et les personnes infectées ou affectées par le VIH/sida.
Pour ce qui est de la protection social, l’accent a été mis sur les réformes du Conseil National de la Sécurité Sociale.
Le forum national sur l’emploi, la formation professionnelle et la protection sociale a bénéficié du concours du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), du Bureau International du Travail (BIT), des experts venus du Maroc, du Sénégal et du Cameroun.