POLITIQUE
Vue des lieux de l'inondation, Photo-ACAP/Koutou
Après avoir visité les familles et les quartiers inondés du deuxième arrondissement de Bangui aux premières heures de la matinée, le Premier ministre a reçu en audience les ambassadeurs de France, des Etats-Unis et du Nigeria en poste en Centrafrique pour solliciter auprès d’eux une mobilisation pouvant soulager les sinistrés.
De source proche de la Primature, on indique que les trois diplomates ont témoigné leur solidarité au gouvernement en donnant une suite favorable à la demande du Premier ministre et lui ont demandé de « quantifier les besoins » pour leur permettre de trouver des solutions adaptées.
Le Président de la Croix Rouge Centrafricaine, M. Antoine Mbao Bogo a fait remarquer que l’équipe de gestion des catastrophes de la croix rouge centrafricaine et le secrétariat général sont sur le terrain pour faire l’évaluation.
« Les premières évaluations seront connues en fin d’après midi ». Toutefois, a-t-il souligné, « elles ne seront pas définitives parce que la pluie continue de faire son mauvais travail, donc il faudra attendre deux ou trois jours pour avoir un bilan définitif ».
Sur les lieux, l’on trouve des maisons totalement ou partiellement écroulées, les autres inondées et les cours remplies d'eau.
Il convient de signaler que cette partie de la capitale centrafricaine a souvent connue ce genre de catastrophe. Il y a deux semaines, le même arrondissement avait vécu la même situation. Selon les données de la Croix rouge centrafricaine, 275 maisons avaient été détruites tandis que 2772 personnes sont restées sans abris.
Pour le Président de la Croix rouge centrafricaine, Antoine Mbao Bogo, « il faut reprendre l’étude d’assainissement de cet arrondissement et apporter les solutions qu’il faut ». Selon lui, il faut faire un travail de sensibilisation auprès des populations sur les constructions anarchiques, en vue de mettre fin à ce phénomène qui intervient chaque année.
Signalons qu’à la fin de sa visite auprès des sinistrés, le Chef du gouvernement a demandé au Président de la Croix rouge centrafricaine d’accélérer le processus d’évaluation de la catastrophe.
De source proche de la Primature, on indique que les trois diplomates ont témoigné leur solidarité au gouvernement en donnant une suite favorable à la demande du Premier ministre et lui ont demandé de « quantifier les besoins » pour leur permettre de trouver des solutions adaptées.
Le Président de la Croix Rouge Centrafricaine, M. Antoine Mbao Bogo a fait remarquer que l’équipe de gestion des catastrophes de la croix rouge centrafricaine et le secrétariat général sont sur le terrain pour faire l’évaluation.
« Les premières évaluations seront connues en fin d’après midi ». Toutefois, a-t-il souligné, « elles ne seront pas définitives parce que la pluie continue de faire son mauvais travail, donc il faudra attendre deux ou trois jours pour avoir un bilan définitif ».
Sur les lieux, l’on trouve des maisons totalement ou partiellement écroulées, les autres inondées et les cours remplies d'eau.
Il convient de signaler que cette partie de la capitale centrafricaine a souvent connue ce genre de catastrophe. Il y a deux semaines, le même arrondissement avait vécu la même situation. Selon les données de la Croix rouge centrafricaine, 275 maisons avaient été détruites tandis que 2772 personnes sont restées sans abris.
Pour le Président de la Croix rouge centrafricaine, Antoine Mbao Bogo, « il faut reprendre l’étude d’assainissement de cet arrondissement et apporter les solutions qu’il faut ». Selon lui, il faut faire un travail de sensibilisation auprès des populations sur les constructions anarchiques, en vue de mettre fin à ce phénomène qui intervient chaque année.
Signalons qu’à la fin de sa visite auprès des sinistrés, le Chef du gouvernement a demandé au Président de la Croix rouge centrafricaine d’accélérer le processus d’évaluation de la catastrophe.
Le Premier ministre Touadéra sur les lieux, Photo-ACAP/Koutou
