POLITIQUE
Organisé par l’Association centrafricaine]s pour le bien-être familial (ACABEF), cet atelier regroupe quarante participants venus de treize des seize préfectures de la République Centrafricaine.
« Les objectifs visés par cet organe des jeunes est non seulement de faciliter l’accès des adolescents à l’information , à l’éducation et à la communication ; mais également d’offrir des services conviviaux aux jeunes et adolescents et de contribuer à la création d’un réseau des jeunes militants et d’enseignants au niveau communautaire », a indqué M. Namkoisse Senzoure dans son mot d’ouverture.
Pour lui, le développement de la République Centrafricaine dépend de la prise en charge des besoins de la jeunesse en matière de santé sexuelle et de reproductive, ajoutant que « l’accès des jeunes à la santé de reproduction est un droit et non un privilège ».
« L’accès aux services de santé sexuelle et de reproduction est non seulement un moyen efficace de la lutte contre la pauvreté, la mortalité maternelle et infantile ; mais également contre le VIH/SIDA. », a conclu M Senzoure.
Il a également souligné le taux de prévalence du VIH/SIDA qui est selon lui « alarmant en milieu jeune » en raison d’une prise en charge inadéquate des jeunes en santé sexuelle.
Il convient de signaler que cet atelier des pairs éducateurs prendra fin le 11 juin prochain à la direction de l’ACABEF à Bangui.
« Les objectifs visés par cet organe des jeunes est non seulement de faciliter l’accès des adolescents à l’information , à l’éducation et à la communication ; mais également d’offrir des services conviviaux aux jeunes et adolescents et de contribuer à la création d’un réseau des jeunes militants et d’enseignants au niveau communautaire », a indqué M. Namkoisse Senzoure dans son mot d’ouverture.
Pour lui, le développement de la République Centrafricaine dépend de la prise en charge des besoins de la jeunesse en matière de santé sexuelle et de reproductive, ajoutant que « l’accès des jeunes à la santé de reproduction est un droit et non un privilège ».
« L’accès aux services de santé sexuelle et de reproduction est non seulement un moyen efficace de la lutte contre la pauvreté, la mortalité maternelle et infantile ; mais également contre le VIH/SIDA. », a conclu M Senzoure.
Il a également souligné le taux de prévalence du VIH/SIDA qui est selon lui « alarmant en milieu jeune » en raison d’une prise en charge inadéquate des jeunes en santé sexuelle.
Il convient de signaler que cet atelier des pairs éducateurs prendra fin le 11 juin prochain à la direction de l’ACABEF à Bangui.
