POLITIQUE
Cet atelier vise à renforcer les capacités organisationnelles et techniques des participants en matière de mobilisation sociale pour une meilleure implication des communautés dans la mise en œuvre du projet d’urgence de réhabilitation des infrastructures et services urbains (PURISU).
Organisé par le Réseau africain de développement intégré (RADI), cet atelier mobilise une cinquantaine de chefs de quartier, de chefs de groupe, des leaders d'association et d'ONG ainsi que les responsables du comité de développement des quartiers (CDQ) du deuxième arrondissement de Bangui.
Pendant 3 jours ces participants seront dotés des connaissances et savoir faire techniques en matière de mobilisation sociale et participation communautaire, d'intercommunication et participation des partenaires dans la réalisation du purisu, de gestion des conflits sociaux, de mobilisation des femmes à l’action de terrain et à la reconnaissance de leurs droits.
« L’implication des populations bénéficiaires et leur responsabilisation dans toute la démarche de mise en œuvre du purisu sont fortement recommandées pour assurer une bonne appropriation et garantir la pérennisation des acquis du projet », a déclaré M. Danda.
Il faut rappeler que le purisu est un projet du gouvernement centrafricain, financé par la Banque Mondiale à hauteur de 18 millions de dollars et comportant 2 composantes, à savoir la composante A, qui concerne les infrastructures, et la composante B relative au renforcement des capacités des acteurs impliqués dans le cadre du projet.
Depuis environ une année et demie, le Purisu est à pied œuvre dans la ville de Bangui et sa périphérie à travers les travaux de la voirie, du drainage, des déchets solides et de l’eau potable.
Organisé par le Réseau africain de développement intégré (RADI), cet atelier mobilise une cinquantaine de chefs de quartier, de chefs de groupe, des leaders d'association et d'ONG ainsi que les responsables du comité de développement des quartiers (CDQ) du deuxième arrondissement de Bangui.
Pendant 3 jours ces participants seront dotés des connaissances et savoir faire techniques en matière de mobilisation sociale et participation communautaire, d'intercommunication et participation des partenaires dans la réalisation du purisu, de gestion des conflits sociaux, de mobilisation des femmes à l’action de terrain et à la reconnaissance de leurs droits.
« L’implication des populations bénéficiaires et leur responsabilisation dans toute la démarche de mise en œuvre du purisu sont fortement recommandées pour assurer une bonne appropriation et garantir la pérennisation des acquis du projet », a déclaré M. Danda.
Il faut rappeler que le purisu est un projet du gouvernement centrafricain, financé par la Banque Mondiale à hauteur de 18 millions de dollars et comportant 2 composantes, à savoir la composante A, qui concerne les infrastructures, et la composante B relative au renforcement des capacités des acteurs impliqués dans le cadre du projet.
Depuis environ une année et demie, le Purisu est à pied œuvre dans la ville de Bangui et sa périphérie à travers les travaux de la voirie, du drainage, des déchets solides et de l’eau potable.
