POLITIQUE
Organisé par le Programme Cadre Gouvernance et Décentralisation(PCGD), en partenariat avec le Conseil inter ONG en Centrafrique, cet atelier vise à renforcer les capacités des leaders des organisations de la société civile en vue de les rendre capables de définir, concevoir, mettre en œuvre et évaluer leurs plans d’actions.
« Assainir les bases de la chose publique, responsabiliser les collectivités locales, promouvoir la capacité des organisations de la société civile et privilégier la transparence dans la gestion de la chose publique et la protection des droits des citoyens est la préoccupation du gouvernement », a indiqué M. Jonas Bodas.
« C’est pourquoi,a-t-il ajouté, le gouvernement attache une importance capitale à l’implication de la société civile à toute œuvre de développement ».
« La gouvernance interne au sein d’une organisation suppose une adhésion à des valeurs, normes et principes démocratiques, comme la gestion participative, la recherche du consensus à travers des débats contradictoires, l’acceptation de l’alternance et du renouvellement des organes dirigeants, la transparence dans la gestion des ressources humaines, financières et maternelles », a souligné le conseiller technique principal du PCGP, M. Mamadou Barry.
« Cet appui vise, dans une large mesure, à renforcer les capacités tant opérationnelles qu’institutionnelles des organisations de la société civile ( OSC) en vue de leur permettre de jouer pleinement et efficacement leur rôle de veille et de garants du respect des droits humains », a-t-il précisé.
Selon lui, le diagnostic de la pauvreté en République centrafricaine a révélé que, parmi les problèmes fondamentaux, figure en première place la mauvaise gouvernance, d’où l’intérêt du présent atelier dont l’objectif vise à sensibiliser les membres du CIONGCA sur la nécessité d’adopter des principes de bonne gouvernance au sein des organisations respectives en vue de contribuer efficacement à la lutte contre la corruption.
Pour M. Modeste Gonda, cet atelier de 3 jours doit permettre aux membres des différentes organisations de se dégager des faiblesses qui les empêchent de s’impliquer dans la mise en œuvre du programme de développement de la République centrafricaine en maîtrisant le rôle fondamental qu’ils ont à jouer dans la lutte contre la corruption.
« Assainir les bases de la chose publique, responsabiliser les collectivités locales, promouvoir la capacité des organisations de la société civile et privilégier la transparence dans la gestion de la chose publique et la protection des droits des citoyens est la préoccupation du gouvernement », a indiqué M. Jonas Bodas.
« C’est pourquoi,a-t-il ajouté, le gouvernement attache une importance capitale à l’implication de la société civile à toute œuvre de développement ».
« La gouvernance interne au sein d’une organisation suppose une adhésion à des valeurs, normes et principes démocratiques, comme la gestion participative, la recherche du consensus à travers des débats contradictoires, l’acceptation de l’alternance et du renouvellement des organes dirigeants, la transparence dans la gestion des ressources humaines, financières et maternelles », a souligné le conseiller technique principal du PCGP, M. Mamadou Barry.
« Cet appui vise, dans une large mesure, à renforcer les capacités tant opérationnelles qu’institutionnelles des organisations de la société civile ( OSC) en vue de leur permettre de jouer pleinement et efficacement leur rôle de veille et de garants du respect des droits humains », a-t-il précisé.
Selon lui, le diagnostic de la pauvreté en République centrafricaine a révélé que, parmi les problèmes fondamentaux, figure en première place la mauvaise gouvernance, d’où l’intérêt du présent atelier dont l’objectif vise à sensibiliser les membres du CIONGCA sur la nécessité d’adopter des principes de bonne gouvernance au sein des organisations respectives en vue de contribuer efficacement à la lutte contre la corruption.
Pour M. Modeste Gonda, cet atelier de 3 jours doit permettre aux membres des différentes organisations de se dégager des faiblesses qui les empêchent de s’impliquer dans la mise en œuvre du programme de développement de la République centrafricaine en maîtrisant le rôle fondamental qu’ils ont à jouer dans la lutte contre la corruption.
