POLITIQUE
Vue de la salle des participants, Photo-ACAP/Biongo
Organisée par la section nationale du Comité inter africain sur les pratiques traditionnelles ayant un effet sur la santé des femmes et des enfants (CIAF) Centrafrique, cette journée a pour thème « la volonté politique au centre de l’action pour atteindre la tolérance zéro aux mutilations génitales féminines ».
Les manifestations de cette journée sont consacrées à l'information et à la sensibilisation des membres du Conseil économique et sociale sur leur implication dans la lutte contre ces pratiques qui portent atteinte à la dignité de la femme.
Selon la présidente de CIAF/Centrafrique, Mme Marguerite Ramadan, l’objectif de cette manifestation est de « susciter l’adhésion des décideurs à la lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes et les violences à l’égard des femmes et des enfants, particulièrement l’excision ».
Pour elle, cette lutte n’est pas seulement l’apanage de femmes, mais nécessite l’implication de tous, notamment le Conseil économique et social qui a une influence sur les projets de loi et les textes réglémentaires de la République.
Pour Mme Bernadette Sayo, la célébration de la journée tolérance zéro est un « signal fort pour éveiller les consciences » sur la nécessité de lutter pour l’éradication des pratiques qui portent préjudice à la santé des femmes et des enfants.
Pour la ministre des Affaires sociales, la lutte contre ces pratiques contribue à la promotion de la santé des femmes de Centrafrique, reconnaissant que « l’élimination de ces pratiques n’est pas chose facile ».
Elle a enfin lancé un appel aux partenaires pour soutenir la République Centrafricaine dans ce combat qui est devenu, selon elle, « une préoccupation mondiale et inscrite dans les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) ».
Au cours de cette journée, les conseillers économiques et sociaux vont débattre des thèmes tels que la problématique générale des pratiques traditionnelles néfastes et des violences faites aux femmes et aux enfants, l’excision et ses conséquences sur la santé, les aspects psychosociologiques des violences sexuelles et le genre, les violences basées sur le genre et les stratégies à promouvoir.
Rappelons que le CIAF est né en 1984 à Dakar, au Sénégal, de la volonté de ses initiateurs de mettre fin à toutes les catégories des violences faites aux femmes.
Quant à la journée tolérance zéro, elle a été instituée par les Nations Unies en août 2003 pour attirer l’attention du monde sur le mutisme entretenu autour de ces pratiques qui font des millions de victimes parmi les femmes et les enfants dans le monde.
Les manifestations de cette journée sont consacrées à l'information et à la sensibilisation des membres du Conseil économique et sociale sur leur implication dans la lutte contre ces pratiques qui portent atteinte à la dignité de la femme.
Selon la présidente de CIAF/Centrafrique, Mme Marguerite Ramadan, l’objectif de cette manifestation est de « susciter l’adhésion des décideurs à la lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes et les violences à l’égard des femmes et des enfants, particulièrement l’excision ».
Pour elle, cette lutte n’est pas seulement l’apanage de femmes, mais nécessite l’implication de tous, notamment le Conseil économique et social qui a une influence sur les projets de loi et les textes réglémentaires de la République.
Pour Mme Bernadette Sayo, la célébration de la journée tolérance zéro est un « signal fort pour éveiller les consciences » sur la nécessité de lutter pour l’éradication des pratiques qui portent préjudice à la santé des femmes et des enfants.
Pour la ministre des Affaires sociales, la lutte contre ces pratiques contribue à la promotion de la santé des femmes de Centrafrique, reconnaissant que « l’élimination de ces pratiques n’est pas chose facile ».
Elle a enfin lancé un appel aux partenaires pour soutenir la République Centrafricaine dans ce combat qui est devenu, selon elle, « une préoccupation mondiale et inscrite dans les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) ».
Au cours de cette journée, les conseillers économiques et sociaux vont débattre des thèmes tels que la problématique générale des pratiques traditionnelles néfastes et des violences faites aux femmes et aux enfants, l’excision et ses conséquences sur la santé, les aspects psychosociologiques des violences sexuelles et le genre, les violences basées sur le genre et les stratégies à promouvoir.
Rappelons que le CIAF est né en 1984 à Dakar, au Sénégal, de la volonté de ses initiateurs de mettre fin à toutes les catégories des violences faites aux femmes.
Quant à la journée tolérance zéro, elle a été instituée par les Nations Unies en août 2003 pour attirer l’attention du monde sur le mutisme entretenu autour de ces pratiques qui font des millions de victimes parmi les femmes et les enfants dans le monde.
