L’enjeu de cet atelier national est de permettre aux mandants tripartites d’avoir une compréhension commune du PPTD et du processus de sa formulation, de renforcer les capacités des mandants tripartites en matière de planification et de gestion axée sur les résultats dans le contexte PPTD et de bâtir un consensus sur les problèmes majeurs auxquels les mandants font face pour mettre en œuvre l’agenda du travail décent en Centrafrique et procéder à l’identification des priorités.
Selon le ministre de la Fonction Publique, le programme-pays pour la promotion de travail décent est une alternative pour pallier les conséquences néfastes de la crise économique et financière.
Le représentant du Bureau International du Travail (BIT), le Directeur Toudjida N. ANDEMEL a noté que l’emploi est un pilier majeur de l’agenda de travail décent dès lors qu’il s’agit d’assurer le plein emploi pour tous, particulièrement pour les filles et les garçons.
Cet atelier, organisé par le ministère de la Fonction Publique, avec l’appui financier de l’Organisation Internationale de Travail (OIT), a mobilisé une quarantaine des cadres des différents départements ministériels et des experts des organismes internationaux. Les modules de cet atelier portent sur le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) ; le plan cadre des Nations Unies pour l’aide au développement ; l’agenda du travail décent ; la déclaration de l’OIT pour une mondialisation équitable ; le socle de protection sociale et le processus de formulation du PPTD.
Il convient de rappeler qu’au premier forum africain sur le travail décent, tenu en décembre 2009 à Ouagadougou au Burkina Faso, les pays africains avaient affirmé leur engagement tout en ayant à l’esprit que la mise en œuvre du PPTD est le fondement du pacte mondial pour l’emploi.
L’atelier national de processus de formulation du programme-pays pour la promotion du travail décent en République Centrafricaine est animé par deux experts du BIT venus du Cameroun et de la République Démocratique du Congo.
Il convient de relever que la République Centrafricaine n’a pas encore procédé à la formulation de son PPTD.
Selon le ministre de la Fonction Publique, le programme-pays pour la promotion de travail décent est une alternative pour pallier les conséquences néfastes de la crise économique et financière.
Le représentant du Bureau International du Travail (BIT), le Directeur Toudjida N. ANDEMEL a noté que l’emploi est un pilier majeur de l’agenda de travail décent dès lors qu’il s’agit d’assurer le plein emploi pour tous, particulièrement pour les filles et les garçons.
Cet atelier, organisé par le ministère de la Fonction Publique, avec l’appui financier de l’Organisation Internationale de Travail (OIT), a mobilisé une quarantaine des cadres des différents départements ministériels et des experts des organismes internationaux. Les modules de cet atelier portent sur le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) ; le plan cadre des Nations Unies pour l’aide au développement ; l’agenda du travail décent ; la déclaration de l’OIT pour une mondialisation équitable ; le socle de protection sociale et le processus de formulation du PPTD.
Il convient de rappeler qu’au premier forum africain sur le travail décent, tenu en décembre 2009 à Ouagadougou au Burkina Faso, les pays africains avaient affirmé leur engagement tout en ayant à l’esprit que la mise en œuvre du PPTD est le fondement du pacte mondial pour l’emploi.
L’atelier national de processus de formulation du programme-pays pour la promotion du travail décent en République Centrafricaine est animé par deux experts du BIT venus du Cameroun et de la République Démocratique du Congo.
Il convient de relever que la République Centrafricaine n’a pas encore procédé à la formulation de son PPTD.