POLITIQUE
M. Waboé a fait cette déclaration lors de la cérémonie d’ouverture des sixièmes journées francophones de la schizophrénie en République Centrafricaine, en présence du président du conseil d’administration de cette association, M. Aristide Kaimba, au côté de qui on notait la présence de certains membres du cabinet du ministre de la Santé publique, de quelques anciens malades guéris ainsi que des parents de ces derniers.
L’objectif recherché à travers ces sixièmes journées francophones de la schizophrénie est d’informer largement la population et surtout les familles des malades en leur donnant l’espoir thérapeutique, de sensibiliser les partenaires pour la prise en charge des malades schizophrènes, de susciter l’implication de toutes les couches de la population et surtout la presse sur la stigmatisation de la maladie.
Le docteur André Tabo, unique psychiatre au service de psychiatrie du centre nationale hospitalier et universitaire de Bangui (CNHUB), a indiqué que la schizophrénie a touché plus de 1% de la population centrafricaine, soit 150 à 200 personnes vivant avec cette maladie, selon les enquêtes réalisées 2007.
« La schizophrénie est un groupe de troubles mentaux dus à un dysfonctionnement du cerveau, touchant le centre du langage, de la vue, de l’audition et de la santé, dont la conséquence principale est la perturbation importante des rapports du malade avec les autres», a-t-il expliqué, avant d’exhorter les malades mentaux à suivre le traitement et la prise en charge globale.
Selon M. Jean Pierre Waboé, « un sérieux travail de sensibilisation s’avère indispensable, car les patients se sont culpabilisés, d’où l’importance de la mission des associations d’aide aux malades mentaux comme l’Association Cœur Amour (ACA), afin de permettre un diagnostic précoce pour un traitement efficace.
Il a toutefois appelé les parents ayant constaté des changements dans le comportement relationnel de leur proche de les amener très rapidement au service de psychiatrie et d’hygiène mental.
M. Waboé a enfin réitéré l’engagement du Gouvernement dans l’appui des efforts que nr cesse d’apporter l’association Coeur Amour au côté du ministère de la Santé dans la contribution à la promotion de la santé mentale en République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que cette journée est célébrée dans les pays membres du réseau schizo francophone dont la République centrafricaine. Pour cette année, les manifestations prévues sont entre et autre une marche en faveur des malades, des conférences débats dans quelques centres d’Information et d’Ecoute (CIE), à l’endroit des élèves de quelques établissements scolaires de Bangui, la présentation de pièces théâtrales au public banguissois. Les manifestations prendront fin par une soirée de danse moderne dédiée aux malades schizophrènes.
Il est à noter que l’Association Cœur Amour est une association créée en 2006 par les parents des malades mentaux et les malades guéris, en partenariat avec le ministère de la Santé dans le but promouvoir la lutte contre cette maladies, sa prise en charge morale et psychothérapeutique.
L’objectif recherché à travers ces sixièmes journées francophones de la schizophrénie est d’informer largement la population et surtout les familles des malades en leur donnant l’espoir thérapeutique, de sensibiliser les partenaires pour la prise en charge des malades schizophrènes, de susciter l’implication de toutes les couches de la population et surtout la presse sur la stigmatisation de la maladie.
Le docteur André Tabo, unique psychiatre au service de psychiatrie du centre nationale hospitalier et universitaire de Bangui (CNHUB), a indiqué que la schizophrénie a touché plus de 1% de la population centrafricaine, soit 150 à 200 personnes vivant avec cette maladie, selon les enquêtes réalisées 2007.
« La schizophrénie est un groupe de troubles mentaux dus à un dysfonctionnement du cerveau, touchant le centre du langage, de la vue, de l’audition et de la santé, dont la conséquence principale est la perturbation importante des rapports du malade avec les autres», a-t-il expliqué, avant d’exhorter les malades mentaux à suivre le traitement et la prise en charge globale.
Selon M. Jean Pierre Waboé, « un sérieux travail de sensibilisation s’avère indispensable, car les patients se sont culpabilisés, d’où l’importance de la mission des associations d’aide aux malades mentaux comme l’Association Cœur Amour (ACA), afin de permettre un diagnostic précoce pour un traitement efficace.
Il a toutefois appelé les parents ayant constaté des changements dans le comportement relationnel de leur proche de les amener très rapidement au service de psychiatrie et d’hygiène mental.
M. Waboé a enfin réitéré l’engagement du Gouvernement dans l’appui des efforts que nr cesse d’apporter l’association Coeur Amour au côté du ministère de la Santé dans la contribution à la promotion de la santé mentale en République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que cette journée est célébrée dans les pays membres du réseau schizo francophone dont la République centrafricaine. Pour cette année, les manifestations prévues sont entre et autre une marche en faveur des malades, des conférences débats dans quelques centres d’Information et d’Ecoute (CIE), à l’endroit des élèves de quelques établissements scolaires de Bangui, la présentation de pièces théâtrales au public banguissois. Les manifestations prendront fin par une soirée de danse moderne dédiée aux malades schizophrènes.
Il est à noter que l’Association Cœur Amour est une association créée en 2006 par les parents des malades mentaux et les malades guéris, en partenariat avec le ministère de la Santé dans le but promouvoir la lutte contre cette maladies, sa prise en charge morale et psychothérapeutique.
