POLITIQUE
Dans son discours, le ministre Faustin N’Telnoumbi a déclaré que « le but de la planification familiale est de garantir le droit des couples et des individus de décider librement en toute conscience, du nombre de leurs enfants et de la manière avec laquelle les naissances doivent être espacées ».
Il a fait remarquer que les résultats de plusieurs études révèlent que la situation de la mère et de l’enfant reste préoccupante dans le monde en général et particulièrement en République Centrafricaine avec un taux de mortalité maternelle estimé à 1355%0 en 2003.
« Les conséquences des besoins non satisfaits a-t-il précisé en matière de planification familiale peuvent conduire à des pratiques non recommandées comme des interruptions volontaires de grossesse ou avortement le plus souvent en milieu non médical avec des risques graves pour la santé de la femme » a conclu M. Ntelnoumbi.
Selon Mamadou Traoré, représentant du Représentant résident du Fond des Nations Unies pour la Population (UNFPA), la mortalité maternelle et néo-natale dans les pays en voie de développement, dont les taux sont fortement élevés, n’est pas une « fatalité ».
Parmi les solutions données, a-t-il souligné, « il y a quelques unes qui semblent importantes à rappeler, à savoir, la volonté politique de rendre accessibles les services de soins maternels et infantiles aux populations, la réduction des inégalités observées entre le milieu urbain et le milieu rural, l’accès des jeunes à l’information et aux contraceptifs, la réponse aux besoins non satisfaits des femmes qui veulent différer la prochaine naissance et éviter la nouvelle naissance ».
Rappelons que la République Centrafricaine s’est engagée depuis 1984 à promouvoir la planification familiale afin de développer une maternité sans risque tant pour la mère que pour l’enfant.
La journée mondiale de la population est donc un élan mondial qui vise à interpeller les consciences des dirigeants, des peuples et surtout de la communauté internationale sur les engagements pris au cours des conférences sous-régionales et internationales.
Il a fait remarquer que les résultats de plusieurs études révèlent que la situation de la mère et de l’enfant reste préoccupante dans le monde en général et particulièrement en République Centrafricaine avec un taux de mortalité maternelle estimé à 1355%0 en 2003.
« Les conséquences des besoins non satisfaits a-t-il précisé en matière de planification familiale peuvent conduire à des pratiques non recommandées comme des interruptions volontaires de grossesse ou avortement le plus souvent en milieu non médical avec des risques graves pour la santé de la femme » a conclu M. Ntelnoumbi.
Selon Mamadou Traoré, représentant du Représentant résident du Fond des Nations Unies pour la Population (UNFPA), la mortalité maternelle et néo-natale dans les pays en voie de développement, dont les taux sont fortement élevés, n’est pas une « fatalité ».
Parmi les solutions données, a-t-il souligné, « il y a quelques unes qui semblent importantes à rappeler, à savoir, la volonté politique de rendre accessibles les services de soins maternels et infantiles aux populations, la réduction des inégalités observées entre le milieu urbain et le milieu rural, l’accès des jeunes à l’information et aux contraceptifs, la réponse aux besoins non satisfaits des femmes qui veulent différer la prochaine naissance et éviter la nouvelle naissance ».
Rappelons que la République Centrafricaine s’est engagée depuis 1984 à promouvoir la planification familiale afin de développer une maternité sans risque tant pour la mère que pour l’enfant.
La journée mondiale de la population est donc un élan mondial qui vise à interpeller les consciences des dirigeants, des peuples et surtout de la communauté internationale sur les engagements pris au cours des conférences sous-régionales et internationales.
