POLITIQUE
Cette distinction honorifique a pour but d’honorer la mémoire du défunt et de lui exprimer une reconnaissance quant aux éminents et loyaux services qu’il a rendus à la République Centrafricaine tout au long de sa carrière professionnelle et politique.
D’après l’oraison funèbre délivrée par M. Anatole Possiti, Jean-Paul Ngoupandé, né le 6 décembre 1948 dans la sous-préfecture de Dékoa, a démarré ses études primaires en 1956 dans cette même localité et est admis au Collège Emile Gentil, actuellement Lycée Barthélemy Boganda où il obtint son diplôme de philosophie en juin 1967. Jean-Paul Ngoupandé est docteur en philosophie.
Dans sa vie professionnelle, Jean-Paul Ngoupandé a successivement été enseignant à l’Université de Bangui (1980), chef de département de Philosophie à la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bangui, doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bangui et Ministre de l’Education nationale en 1985. Sur d’autres plans, Jean-Paul Ngoupandé a été Ministres aux Affaires étrangères et plusieurs fois conseiller à la Présidence de la République.
Sur le plan politique, Jean-Paul Ngoupandé a été en 1986 Secrétaire exécutif du Parti de l’ancien Président André Kolingba, le Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC), ambassadeur de la République Centrafricaine en Côte d’Ivoire puis en France. Entre 1996 et 1997, il a été Premier ministre du Gouvernement d’Union Nationale (GUN).
En décembre 1998 puis en 2005, Jean-Paul Ngoupandé a été élu député de Dékoa, sa ville natale. Il s’est présenté sans succès par deux fois à l’élection présidentielle en République Centrafricaine, une première fois en 1998 et une seconde fois en 2005. Pour avoir une visibilité sur le plan politique, Jean-Paul Ngoupandé a créé le Parti de l’Unité Nationale (PUN) le 4 mai 1998, coïncidence troublante de date d’après Davy Yama, Vice-président du PUN, « puisque Jean-Paul Ngoupandé est décédé le 4 mai 2014.
Sur le plan intellectuel, Jean-Paul Ngoupandé a été l’auteur de plusieurs publications. Il a par ailleurs pris part à plusieurs séminaires et colloques dans le monde.
Les déboires sanitaires de Jean-Paul Ngoupandé ont démarré en 2003, où il a été évacué en France.
Marié et père de six enfants, Jean-Paul Ngoupandé a rendu l’âme dans son appartement de Paris, le 4 mai 2014. Il est détenteur de nombreuses distinctions honorifiques tout au long de son parcours professionnel et politique. Sa plus haute distinction honorifique « la dignité de grand Croix dans l’ordre nationale du mérite centrafricain.
La cérémonie des obsèques officielles consacrées à Jean-Paul Ngoupandé a été émaillée de grande veillée au domicile familiale, de culte religieux, de remise de toge à la famille à l’Université de Bangui, de témoignages et dépôts de gerbes par ordre protocolaire, allant des parents amis et connaissances du défunt ainsi que des autorités de la Transition, suivi d’une distinction honorifique au siège du Conseil National de Transition.
La dépouille mortelle de Jean-Paul Ngoupandé a été inhumée à 22 Km au nord-ouest de Bangui, sur la route de Damara.
D’après l’oraison funèbre délivrée par M. Anatole Possiti, Jean-Paul Ngoupandé, né le 6 décembre 1948 dans la sous-préfecture de Dékoa, a démarré ses études primaires en 1956 dans cette même localité et est admis au Collège Emile Gentil, actuellement Lycée Barthélemy Boganda où il obtint son diplôme de philosophie en juin 1967. Jean-Paul Ngoupandé est docteur en philosophie.
Dans sa vie professionnelle, Jean-Paul Ngoupandé a successivement été enseignant à l’Université de Bangui (1980), chef de département de Philosophie à la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bangui, doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université de Bangui et Ministre de l’Education nationale en 1985. Sur d’autres plans, Jean-Paul Ngoupandé a été Ministres aux Affaires étrangères et plusieurs fois conseiller à la Présidence de la République.
Sur le plan politique, Jean-Paul Ngoupandé a été en 1986 Secrétaire exécutif du Parti de l’ancien Président André Kolingba, le Rassemblement Démocratique Centrafricain (RDC), ambassadeur de la République Centrafricaine en Côte d’Ivoire puis en France. Entre 1996 et 1997, il a été Premier ministre du Gouvernement d’Union Nationale (GUN).
En décembre 1998 puis en 2005, Jean-Paul Ngoupandé a été élu député de Dékoa, sa ville natale. Il s’est présenté sans succès par deux fois à l’élection présidentielle en République Centrafricaine, une première fois en 1998 et une seconde fois en 2005. Pour avoir une visibilité sur le plan politique, Jean-Paul Ngoupandé a créé le Parti de l’Unité Nationale (PUN) le 4 mai 1998, coïncidence troublante de date d’après Davy Yama, Vice-président du PUN, « puisque Jean-Paul Ngoupandé est décédé le 4 mai 2014.
Sur le plan intellectuel, Jean-Paul Ngoupandé a été l’auteur de plusieurs publications. Il a par ailleurs pris part à plusieurs séminaires et colloques dans le monde.
Les déboires sanitaires de Jean-Paul Ngoupandé ont démarré en 2003, où il a été évacué en France.
Marié et père de six enfants, Jean-Paul Ngoupandé a rendu l’âme dans son appartement de Paris, le 4 mai 2014. Il est détenteur de nombreuses distinctions honorifiques tout au long de son parcours professionnel et politique. Sa plus haute distinction honorifique « la dignité de grand Croix dans l’ordre nationale du mérite centrafricain.
La cérémonie des obsèques officielles consacrées à Jean-Paul Ngoupandé a été émaillée de grande veillée au domicile familiale, de culte religieux, de remise de toge à la famille à l’Université de Bangui, de témoignages et dépôts de gerbes par ordre protocolaire, allant des parents amis et connaissances du défunt ainsi que des autorités de la Transition, suivi d’une distinction honorifique au siège du Conseil National de Transition.
La dépouille mortelle de Jean-Paul Ngoupandé a été inhumée à 22 Km au nord-ouest de Bangui, sur la route de Damara.
