POLITIQUE
Centrafrique/Transports
Cet atelier regroupe cinquante (50) participants venus du Congo, de la République Démocratique du Congo et de la République Centrafricaine, pour examiner entre autres, les procédures douanières des marchandises en transit, l’organisation et la gestion des opérations portuaires, l’apport des chemins de fer dans l’exploitation commerciale sur le corridor multimodal et les contraintes de l’exploitation commerciale sur l’axe fluvial, le rôle des observatoires et le projet de plan d’action sur la facilitation des transports.
Organisé par le ministère des transports et de l’aviation civile et la Commission Internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS), en partenariat avec le Programme des politiques de transport en Afrique Subsaharienne (SSATP), cet atelier est prévu pour prendre fin le 26 octobre prochain.
Le Secrétaire général de la CICOS, M. Benjamin Ndala, a souligné que cet atelier vise à « sensibiliser les différents acteurs sur les méfaits des barrières non physiques constatées le long du corridor CICOS, pour lesquels il faut éradiquer afin de trouver une solution durable, » afin de réduire la pauvreté, a-t-il ajouté.
M. Wodobodé a déclaré que « l’amélioration des interfaces intermodales, notamment les ports et les chemins de fer, est un défi à relever, » les tracasseries administratives et policières qui affectent la navigation, cette situation requiert un plan d’actions concerté susceptible à supprimer, car elles entravent « le développement économique et social du bassin, » a-t-il dit.
Le siège social de CICOS se trouve à Kinshasa en République Démocratique du Congo, et a pour mission de faciliter le transport du commerce fluvial, elle regroupe la RDC, le Congo, le Cameroun et la RCA.
Cet atelier regroupe cinquante (50) participants venus du Congo, de la République Démocratique du Congo et de la République Centrafricaine, pour examiner entre autres, les procédures douanières des marchandises en transit, l’organisation et la gestion des opérations portuaires, l’apport des chemins de fer dans l’exploitation commerciale sur le corridor multimodal et les contraintes de l’exploitation commerciale sur l’axe fluvial, le rôle des observatoires et le projet de plan d’action sur la facilitation des transports.
Organisé par le ministère des transports et de l’aviation civile et la Commission Internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS), en partenariat avec le Programme des politiques de transport en Afrique Subsaharienne (SSATP), cet atelier est prévu pour prendre fin le 26 octobre prochain.
Le Secrétaire général de la CICOS, M. Benjamin Ndala, a souligné que cet atelier vise à « sensibiliser les différents acteurs sur les méfaits des barrières non physiques constatées le long du corridor CICOS, pour lesquels il faut éradiquer afin de trouver une solution durable, » afin de réduire la pauvreté, a-t-il ajouté.
M. Wodobodé a déclaré que « l’amélioration des interfaces intermodales, notamment les ports et les chemins de fer, est un défi à relever, » les tracasseries administratives et policières qui affectent la navigation, cette situation requiert un plan d’actions concerté susceptible à supprimer, car elles entravent « le développement économique et social du bassin, » a-t-il dit.
Le siège social de CICOS se trouve à Kinshasa en République Démocratique du Congo, et a pour mission de faciliter le transport du commerce fluvial, elle regroupe la RDC, le Congo, le Cameroun et la RCA.
