Les grands évènements internationaux à venir comprennent, entre autres, le Congrès mondial de la nature de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) de septembre 2021 à Marseille en France ; la quinzième réunion de la Conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique sur la biodiversité au printemps de l’année 2022 à Kunming en Chine (CoP 15) et la 26ème Conférence des parties des Nations Unies sur le changement climatique (CoP 26) de novembre 2021 à Glasgow au Royaume-Uni.
L’ouverture des travaux, à l’Hôtel Pefaco de Maya Maya à Brazzaville, a été placée sous la direction de la ministre congolaise de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Mme Arlette Soudan-Nonault.
Cet atelier, initiative du Réseau des communicateurs pour l’environnement et l’information en Afrique centrale (RECEIAC), a bénéficié de l’appui de l’Agence allemande de coopération internationale pour le développement (Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit ou GIZ), sous la supervision du Secrétariat exécutif de la COMIFAC.
Son objectif est d’informer et de sensibiliser les participants, parmi lesquels trois communicateurs et journalistes centrafricains, sur les enjeux des conférences internationales.
Autrement dit, il est question, pour les délégués, de porter la voix du bassin du Congo dans les instances de décision de l’agenda mondial, surtout que cette zone de l’Afrique centrale reste le dernier rempart planétaire en termes de « deuxième poumon vert de la biodiversité mondiale après l’Amazonie en Amérique du sud ».
De cette vision, les communicateurs devraient, selon le président du RECEIAC, M. Raoul Siemeni, se mobiliser, aux côtés de la COMIFAC, pour l’accompagner dans son positionnement stratégique pour une valorisation accrue du bassin du Congo, afin d’accroître sa visibilité, sa crédibilité et susciter une plus grande adhésion des décideurs politiques, partenaires techniques et financiers au plus au haut niveau à l’échelle internationale, sous régionale et nationale.
Les pays conviés à Brazzaville sont : le Burundi, le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Rwanda, Sao-Tomé-Et-Principe et le Tchad.
L’ouverture des travaux, à l’Hôtel Pefaco de Maya Maya à Brazzaville, a été placée sous la direction de la ministre congolaise de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Mme Arlette Soudan-Nonault.
Cet atelier, initiative du Réseau des communicateurs pour l’environnement et l’information en Afrique centrale (RECEIAC), a bénéficié de l’appui de l’Agence allemande de coopération internationale pour le développement (Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit ou GIZ), sous la supervision du Secrétariat exécutif de la COMIFAC.
Son objectif est d’informer et de sensibiliser les participants, parmi lesquels trois communicateurs et journalistes centrafricains, sur les enjeux des conférences internationales.
Autrement dit, il est question, pour les délégués, de porter la voix du bassin du Congo dans les instances de décision de l’agenda mondial, surtout que cette zone de l’Afrique centrale reste le dernier rempart planétaire en termes de « deuxième poumon vert de la biodiversité mondiale après l’Amazonie en Amérique du sud ».
De cette vision, les communicateurs devraient, selon le président du RECEIAC, M. Raoul Siemeni, se mobiliser, aux côtés de la COMIFAC, pour l’accompagner dans son positionnement stratégique pour une valorisation accrue du bassin du Congo, afin d’accroître sa visibilité, sa crédibilité et susciter une plus grande adhésion des décideurs politiques, partenaires techniques et financiers au plus au haut niveau à l’échelle internationale, sous régionale et nationale.
Les pays conviés à Brazzaville sont : le Burundi, le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Rwanda, Sao-Tomé-Et-Principe et le Tchad.