Instituée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cette journée a permis aux spécialistes traditionnels et modernes de la santé de mettre en évidence leurs expériences afin de réduire sensiblement l’impact des maladies sexuellement transmissibles en général et en particulier, la pandémie du VIH/Sida.
M. Henri Bosco, président de la fédération nationale des tradipraticiens a déclaré à cette occasion que « la collaboration suppose une intégration des acteurs de la médecine traditionnelle aux ressources humaines des hôpitaux et des centres de santé en définissant un cadre conjoint de partenariat », recommandant à cet effet l’implication des tradipraticiens dans la prévention du VIH/Sida.
Il a sollicité la formation des tradipraticiens afin de les impliquer totalement dans la sensibilisation et de la lutte contre le VIH/Sida.
Le ministre Lala a quand à lui, mis un accent particulier sur le savoir traditionnel qui constitue un patrimoine national à préserver.
Notez que depuis trois ans, plus de 800 tradipraticiens ont été formés dans tout le pays dans le domaine de la prévention et de prise en charge des victimes du VIH/Sida.
M. Henri Bosco, président de la fédération nationale des tradipraticiens a déclaré à cette occasion que « la collaboration suppose une intégration des acteurs de la médecine traditionnelle aux ressources humaines des hôpitaux et des centres de santé en définissant un cadre conjoint de partenariat », recommandant à cet effet l’implication des tradipraticiens dans la prévention du VIH/Sida.
Il a sollicité la formation des tradipraticiens afin de les impliquer totalement dans la sensibilisation et de la lutte contre le VIH/Sida.
Le ministre Lala a quand à lui, mis un accent particulier sur le savoir traditionnel qui constitue un patrimoine national à préserver.
Notez que depuis trois ans, plus de 800 tradipraticiens ont été formés dans tout le pays dans le domaine de la prévention et de prise en charge des victimes du VIH/Sida.