Photo d'archives
Le ministre Pierre Somsé a expliqué que la première phase de cette vaccination a eu lieu au mois de décembre 2018 suite à une visite de l’équipe gouvernementale à Alindao pendant une précédente crise dans cette localité.
Il a souligné que cette vaccination faisait partie d’un faisceau de mesures qui avait pour objectif de faire revenir la vie dans la ville d’Alindao, notamment par la santé des enfants et des femmes et que «cela permettra de faire le point sur l’évolution de la situation socio-sanitaire et sécuritaire de la ville d’Alindao ».
Le membre du gouvernement a fait savoir que cette campagne a connu une grande réussite parce que toute la population s’est mobilisée et que sur le plan sécuritaire, il faut apprécier le renforcement de la présence des éléments de la MINUSCA issus des contingents gabonais, rwandais et mauritaniens.
Selon lui, lors de la première visite, la ville d’Alindao était divisée en deux : il y avait le camp des déplacées de l’évêché de l’église catholique et de l’autre côté de la ville on trouvait les musulmans.
« A cette époque, les déplacés de l’évêché ne pouvaient pas se rendre à l’hôpital et qu’au jour d’aujourd’hui, ce clivage n’existe plus », a-t-il conclu.
Il convient de rappeler que le représentant de l’OMS, Severin Von Xylander et Christine Muyigana de l’UNICEF ont accompagné le Ministre Pierre Somsé dans cette mission.
Il a souligné que cette vaccination faisait partie d’un faisceau de mesures qui avait pour objectif de faire revenir la vie dans la ville d’Alindao, notamment par la santé des enfants et des femmes et que «cela permettra de faire le point sur l’évolution de la situation socio-sanitaire et sécuritaire de la ville d’Alindao ».
Le membre du gouvernement a fait savoir que cette campagne a connu une grande réussite parce que toute la population s’est mobilisée et que sur le plan sécuritaire, il faut apprécier le renforcement de la présence des éléments de la MINUSCA issus des contingents gabonais, rwandais et mauritaniens.
Selon lui, lors de la première visite, la ville d’Alindao était divisée en deux : il y avait le camp des déplacées de l’évêché de l’église catholique et de l’autre côté de la ville on trouvait les musulmans.
« A cette époque, les déplacés de l’évêché ne pouvaient pas se rendre à l’hôpital et qu’au jour d’aujourd’hui, ce clivage n’existe plus », a-t-il conclu.
Il convient de rappeler que le représentant de l’OMS, Severin Von Xylander et Christine Muyigana de l’UNICEF ont accompagné le Ministre Pierre Somsé dans cette mission.